"On pense à l'éternité, dans une telle calme!"

Cease your contention for Eurymine, Nor word nor vowes can helpe her miserie; But he it is, that did her first transform, Must calme the gloomy rigor of this storme, Great Phoebus whose pallace we are neere.

Ey flattering fortune, loke thou never so fayre, Or never so pleasantly begin to smile, As tho' thou would'st my ruine all repayre, During my life thou shalt not me begile, Trust shall I God to entre in a while His haven of heaven sure and uniforme, Ever after thy calme loke I for a storme.

Calme was the day, and through the trembling ayre Sweete-breathing Zephyrus did softly play A gentle spirit, that lightly did delay* Hot Titans beames, which then did glyster fayre; When I (whom sullein care, Through discontent of my long fruitlesse stay In princes court, and expectation vayne Of idle hopes, which still doe fly away Like empty shadows, did afflict my brayne,)

[Sidenote: thats calme]

cause the daies be mortall, and short now you know, and I love daie light well; I thought it went away faster than it needed, and run after it into Finsbury-fieldes ith calme evening to see the wind-Mils goe; and even as I was going over a Ditch the Moone by this light of purpose runnes me behind a Cloud, and lets me fall into the Ditch by Heaven.

My woonds too gently, dally with my dowbts And flutter my trewe feares: the even was calme, The skye untrobled, and the soon went downe Without disturbance in a temperate ayr.

Oh happy storme That ends in such a calme!

In such a course Alfred would wind with you; For though I counsail'd you to be more calme, Twas not in pittie of their povertie But to avoide their clamour.

"Peuple, dont les forfaits jettent partout l'effroi, "Avec calme et plaisir J'abandonne la vie "Ce n'est que par la mort qu'on peut fuir l'infamie, "Qu'imprime sur nos fronts le sang de notre Roi." "Let no man be molested on my account: I had no accomplice in the fortunate death of the miscreant St. Fargeau.

Le laboureur des monts qui vit sous la ramée Est rentré chez lui, grave et calme, avec son chien; Il a baisé sa femme au front et dit: C'est bien.

Et, frappant cet airain d'où sort le bruit des âmes, Cette armure où l'on voit frémir le gantelet, Calme et riant, il donne au sépulcre un soufflet.

La voix reprend: Dieu conduit par la main Le vengeur en travers de votre affreux chemin; L'heure où vous existiez est une heure sonnée; Rien ne peut plus bouger dans votre destinée; L'idée inébranlable et calme est dans le joint.

Le preux se courbe au seuil du puits, son oeil y plonge, Et, calme, il dit tout bas, comme parlant en songe: C'est bien!

II LE DÉFAUT DE LA CUIRASSE Maintenant il est vieux; son donjon, c'est son cloître; Il tombe, et, déclinant, sent dans son âme croître La confiance honnête et calme des grands coeurs; Le brave ne croit pas au lâche, les vainqueurs Sont forts, et le héros est ignorant du fourbe.

Ignorant le soupçon, la peur, l'inquiétude, Tous les matins, il boucle à ses flancs refroidis Son épée, aujourd'hui rouillée, et qui jadis Avait la pesanteur de la chose publique; Quand parfois du fourreau, vénérable relique, Il arrache la lame illustre avec effort, Calme, il y croit toujours sentir peser le sort.

Leur haleine est paisible et leur front calme.

sombre mer comme deux grands marteaux; Les flots se le passaient comme des piédestaux Où, calme, ondulerait un triomphal colosse: L'abîme s'abrégeait sous sa lourdeur véloce; Pas de lointain pays qui pour lui ne fût près; Madère apercevait ses mâts, trois jours après L'Hékla l'entrevoyait dans la lueur polaire.

Calme, il monte où jamais nuage n'est monté; Il plane à la hauteur de la sérénité, Devant la vision des sphères; Elles sont là, faisant le mystère éclatant, Chacune feu d'un gouffre, et toutes constatant Les énigmes par les lumières.

aux fers, pénétré du frisson des roseaux, Est remplacé par l'homme attendri, fort et calme; La fonction du sceptre est faite par la palme; Voici qu'enfin, ô gloire!

Il va, de jour vêtu, A l'avenir divin et pur, à la vertu, A la science qu'on voit luire, A la mort des fléaux, à l'oubli généreux, A l'abondance, au calme, au rire, à l'homme heureux; Il va, ce glorieux navire, Au droit, à la raison, à la fraternité,

Et ce clairon semblait, au seuil profond des cieux, Calme, attendre le souffle immense de l'archange.

Then will I ly as calme as doth the sea, When all the winds are lock'd in Aeolus jayle; I will not move a haire, not let a nerve Or Pulse to beat, least I disturbe her!

Parmi rochers, dans le sable Sous les grands pins d'un calme amer Surgit mon amour périssable, Faim de tes yeux, soif de ta chair.

#calme#, m., calm; #du #, p. 39, l. 17, show self control.