But now they are at the foot of the hillthough it is not correct to so call it, for it was a long, winding valley, through which ran a dancing streamlet, very welcome to the thirsty warriors when they had succeeded in breaking through the vicious natural chevaux de frise of blackberry-briers and nettles.

"Let it be equipped," returned Frederick, and in half-an-hour Eustachio and Leonardo, their hands tied behind them, were stumbling up the breach, impelled by pikes in the rear, and confronting the catapults, chevaux de frise, hidden pitfalls, Greek fire, and boiling water provided by their own direction, and certified to them the preceding evening as all that could be desired.

\ pour abreuver les chevaux? Is the water good? . . . . .

Les vilains nous pourvoyaient et apportaient dans nos châteaux le blé, la farine, le pain tout cuit, l'avoine pour les chevaux, le bon vin, les boeufs, les brébis, les moutons tous gras, la poulaille et la volataille.

Nous avions fait peu de chemin, quand nous vimes venir à nous deux Arabes armés à leur manière et montés sur de superbes chevaux.

Là le chemin est réduit uniquement à ce qu'il faut pour le passage des chevaux tout le reste, à gauche, dans une largeur et une longueur d'une lieue environ, ne présente qu'un amas immense de cailloux pareils à ceux de rivière, et dont la plupart sont gros comme des queues de vin.

Voici comme ils ferrent leurs chevaux.

Les chevaux de ce pays n'ont que le pas et le galop.

Comme ils avoient besoin, pour les tournois et les combats, de chevaux très-forts, ils ne se servoient que de chevaux entiers, et se seroient crus dêshonorés de monter une jument.]

Comme ils avoient besoin, pour les tournois et les combats, de chevaux très-forts, ils ne se servoient que de chevaux entiers, et se seroient crus dêshonorés de monter une jument.]

Au reste, leur coutume est de tenir leurs chevaux sur le maigre (de ne point les laisser engraisser).

Telle est leur coutume: leur chevaux ne mangent qu'à huit, et jamais ils n'en laissent manger un avant les autres, à moins que ce ne soit pour paitre l'herbe.

Les gens de distinction, pour n'y point manquer, portent toujours en voyage des bouteilles de cuir pleines d'eau: on les attache sous le ventre des chameaux et des chevaux, et ordinairement elles sont très-belles.

Pour le transport de leurs marchandises, les habitans se servent de boeufs et de buffles, comme nous nous servons de chevaux.

Nous y passâmes la nuit; mais moi je fus obligé de passer dans une caverne le reste du jour, pour y garder nos chevaux.

En sortant il trouva devant le palais les chevaux qui l'avoient amené.

Déja il y avoit des Turcs, et nous fûmes obligés d'y mettre tous nos chevaux pêle-mêle, selon l'usage; mais le lendemain matin, au moment où j'apprêtois le mien pour partir, je m'aperçus qu'on m'avoit pris l'une des courroies qui me servoit à attacher derrière ma selle le tapis et autres objets que je portoîs en trousse.

Pest a beaucoup de marchands de chevaux, et qui leur en demanderoit deux mille bons les y trouveroit.

Ils les vendent par écurie composée de dix chevaux, et chaque écurie est de deux cents florins.

J'en ai vu plusieurs dont deux ou trois chevaux seuls valoient ce prix.

Je le vis dans une joute qui, à la manière du pays, eut lieu sur de petits chevaux et avec des selles basses.

[Footnote: En France, pour les tournois et les joutes, ainsi que pour les batailles, les chevaliers montoient de ces grands et fort chevaux qu'on appeloit palefrois.

Leurs selles avoient par-devant et par-derrière de hauts arçons qui, par les points d'appui qu'ils leur fournissoient, leur donnoient bien plus de moyens de résister au coup de lance que les petits chevaux et les selles basses des Hongrois; et voilà pourquoi notre auteur dit que c'est dans les joutes Hongroises qu'on peut reconnoître le cavalier qui sait bien se tenir en selle.

] Quand ils joutent à l'estrivée pour des verges d'or, tous les chevaux sont de même hauteur; toutes les selles sont pareilles et tirées au sort, et l'on joute par couples toujours paires, un contre un.

Messire Albrech parla ensuite en son nom: il me présenta de l'argent, m'offrit des chevaux et autres objets; en un mot il me rendit le bien pour le mal, quoiqu'après tout cependant je n'eusse fait envers lui que ce que l'honneur me permettoit et m'ordonnoit même de faire.