Félix Pyat has a journal, Le Vengeur; Vermorel has a journal, Le Cri du People; Delescluze has a journal, Le Reveil; there is not a member of the Commune but indulges in the luxury of a sheet in which he tells his colleagues daily all the evil he thinks of them.

As they broke up the Democratic party in order to render the election of the Republican candidate certain, so that they might found on his election the cri de guerre of a "sectional triumph" over the South, so they "coerced" the Southern people into the adoption of a war-policy.

* Extract from a French account of the tanks in action in the battle for Cambrai: "Les chars d'assaut curent aussi leur cri de guerre.

For example, there is the cri de coeur of a passenger on a Clydebank tramcar in Glasgow on Saturday night, with a lady conductor: "I canna jist bottom this, Tam.

2. They say | that in | his prime, Ere the prun |-ing knife of Time Cut him down, Not a bet |-ter man | was found By the cri |-er on | his round Through the town.

For when I returned from Paris, my English terribly corrupt with French ideas and forms of thought, I could write acceptable English verse, but even ordinary newspaper prose was beyond my reach, and an attempt I made to write a novel drifted into a miserable failure; but the following poems opened to me the doors of a first-class London newspaper, and I was at once entrusted with some important cri

Extraordinary that Charlotte's critics have missed the pathos of that cri de coeur.

In the same sentence she rises to the sudden poignant cri du coeur, and sinks to the artifice of metaphor.

R56677. LE CRI DU COEUR, comédie on 3 actes de Pierre Veber et Henry de Gorsse.

Le cri du coeur.

He went over the whole ground againand then suddenly came a human cri du coeur which gave me one of those fruitless pangs which are the saddest things in the world.

Sigismond s'est dressé comme un dogue en arrêt; Ladislas bondit, hurle, ébauche une huée, Grince des dents et rit, et, comme la nuée Résume en un éclair le gouffre pluvieux, Toute sa rage éclate en ce cri:C'est un vieux!

Et sur ses flancs Le roi s'affaisse, et, blême et l'oeil hors de l'orbite, Sans un cri, tant la mort formidable est subite, Il expire.

A ce cri, qu'apportait de toutes parts le vent, Les tonnerres jetaient des grondements étranges, Des flamboiements passaient sur les faces des anges, Les grilles de l'enfer s'empourpraient, le courroux En faisait remuer d'eux-mêmes les verrous, Et l'on voyait sortir de l'abîme insondable Une sinistre main qui s'ouvrait formidable; 'Justice!'

Ah! le vautour est triste à voir, en vérité, Déchiquetant sa proie et planant; on s'effraie Du cri de la fauvette aux griffes de l'orfraie; L'épervier est affreux rongeant des os brisés; Pourtant, par l'ombre immense on les sent excusés, L'impénétrable faim est la loi de la terre, Et le ciel, qui connaît la grande

FABRICE QUI EST UN TRAÎTRE Un homme qu'un piquet de lansquenets escorte, Qui tient une bannière inclinée, et qui porte Une jacque de vair taillée en éventail, Un héraut, fait ce cri devant le grand portail: 'Au nom de l'empereur clément et plein de gloire, Dieu le protège!peuple!

On passe, On court, on va. Voici le cri des porte-voix, Le pas des matelots courant sur les pavois, Les mocos, l'amiral appuyé sur son page, Les tambours, les sifflets des maîtres d'équipage, Les signaux pour la mer, l'appel pour les combats, Le fracas sépulcral et noir du branle-bas. Sont-ce des cormorans?

III Elle prie, et la mauve au cri rauque et moqueur L'importune, et, parmi les écueils en décombres, L'océan l'épouvante, et toutes sortes d'ombres Passent dans son esprit, la mer, les matelots Emportés à travers la colère des flots.

Elle laissait, parmi la paille du grabat, Son bras livide et froid et sa main déjà verte Pendre, et l'horreur sortait de cette bouche ouverte D'où l'âme en s'enfuyant, sinistre, avait jeté Ce grand cri de la mort qu'entend l'éternité!

Point d'armes; un fier bruit de puissance et de joie; Le cri vertigineux de l'exploration!

Les vagues flamboiements épars sur les Sodomes, Précurseurs du grand feu dévorant, les lueurs Que jette le sourcil tragique des tueurs, Les guerres, s'arrachant avec leur griffe immonde Les frontières, haillon difforme du vieux monde, Les battements de coeur des mères aux abois, L'embuscade ou le vol guettant au fond des bois, Le cri de la chouette et de la sentinelle, Les fléaux, ne sont plus leur alarme éternelle.

elle a, rien qu'en marchant, Changé le cri terrestre en pur et joyeux chant, Rajeuni les races flétries, Établi l'ordre vrai, montré le chemin sûr, Dieu juste!

Monsieur le comte de Grignon! DE GRIGNON, poussant un cri de joie.

TOUS, poussant un cri de joie. L'amnistie!

#crédule#, credulous. #cri#, m., outcry; # du coeur#, words from the heart.