Then there was Clémence de Maille, purest and noblest of all, niece of Richelieu and hapless wife of the cruel ingrate Condé, his equal in daring and his superior in every other high quality.

Their flirtation was platonic, but chronic; and whenever poor, heroic, desolate Clémence de Maille was sicker than usual, these cousins were walking side by side in the Tuileries gardens, and dreaming, almost in silence, of what might be, while Mazarin shuddered at the thought of mating two such eagles together.

The King promised as long as this assistance lasted to levy no other subsidy and to coin good and sterling moneyi.e., deniers of fine gold, white, or silver coin, coin of billon, or mixed metal, and deniers and mailles of copper.

The "Loyal Servitor" is now believed from recent research to have been Jacques de Mailles, his intimate friend and companion-at-arms, probably his secretary.

In an ancient catalogue of the Mazarine Library, his book is first set down as the Histoire du Chevalier Bayard, par Jacques de Mailles, Paris, in 4to, 1514 (probably a mistake for 1524).

[Footnote: Le haubert et le haubergeon (sorte de haubert plus léger et moins lourd) étoient une sorte de chemise en mailles de fer, laquelle descendoit jusqu'à micuisse.

Turc pourrait fausser un haubergon; [Footnote: Haubergeon, cotte de mailles plus légère que le haubert.

Etant en mailles, elle pouvoit être faussée plus aisément que la brigandine, qui étoit de fer plein ou en écailles de fer.]

There were the Dowager Duchess de Choiseul, the Viscountess de Maille, whose seventeen-years-old daughter had just been guillotined; there was the Marquise de Créqui, the intellectual lady who has often been called the last marquise of the ancien régime, and who in her witty memoirs wrote the French history of the eighteenth century as viewed from an aristocratic standpoint.

Cependant les héros, assis dans les broussailles, S'aident à délacer leurs capuchons de mailles, Se lavent le visage, et causent un moment.

Ils sont tous arrogants sur la selle, et leurs bustes Achèvent les poitrails des destriers robustes; Les mailles sur leurs flancs croisent leurs durs tricots; Le mortier des marquis près des tortils ducaux Rayonne, et sur l'écu, le casque et

La Nuit tire du fond des gouffres inconnus Son filet où luit Mars, où rayonne Vénus, Et, pendant que les heures sonnent, Ce filet grandit, monte, emplit le ciel des soirs, Et dans ses mailles d'ombre et dans ses réseaux noirs Les constellations frissonnent. L'aéroscaphe suit son chemin; il n'a peur Ni des pièges du soir, ni de l'âcre vapeur, Ni du ciel morne où rien ne bouge,

Le deuil n'est plus mêlé dans tout ce qu'on entend; Leur oreille n'est plus tendue à chaque instant Vers le gémissement indigné de la tombe; La moisson rit aux champs où râlait l'hécatombe; L'azur ne les voit plus pleurer les nouveau-nés, Dans tous les innocents pressentir des damnés, Et la pitié n'est plus leur unique attitude; Ils re regardent plus la morne servitude Tresser sa maille obscure