204 examples of marier in sentences
Je vais me marier avec un avocat.
He arrested the maid on the last step: "Your mistress, she goin' pour marier 'Sieur George?
Avant d'épouser sa cousine Hamilton, il la fit anoblir par le régent, pour ne pas se marier au-dessous de sa condition.
Define, in French, one or more words of the same family as each of the following: éclater, savoir, tarder, perdre, venger, marier, défendre, vainqueur, connaisseur, jugement, usage, bonhomme, chapeau, avis, ruse, pénible, patriotique, certain, malade, étrange, poli, médical.
MARIER, unir par le lien conjugal.
REMARIER, marier de nouveau.
THE FRENCH DOLL, an English adaptation of the play entitled Jeune fille a marier, by Paul Armont and Marcel Gorbidon.
Demoiselles a marier.
THE FRENCH DOLL, an English adaptation of the play entitled Jeune fille a marier, by Paul Armont and Marcel Gorbidon.
Demoiselles a marier.
quoiqu'elle ait vingt ans, on a beau la prier, Elle n'a pas encor voulu se marier.
#marier; se #, marry.
Madame, c'est qu'il est heureux qu'un amant de cette espèce-là veuille se marier dans les formes; il n'y a presque point de fille, s'il lui faisoit la cour, qui ne fût en danger de l'épouser sans cérémonie.
Adieu, mes enfants: je vous laisse ensemble; il est bon que vous vous aimiez un peu avant que de vous marier.
Nous ne gagnerions, à nous marier, que le loisir de nous quereller à notre aise, et ce n'est pas là une partie de plaisir bien touchante.
C'est s'égorger[105] que se marier comme vous faites, et je ne prêterai jamais ma maison pour une si funeste cérémonie.
Si, pour vous marier, vous attendez qu'il vous en vienne, vous resterez toujours veuve; et, à proprement parler, ce n'est pas lui que je vous propose d'épouser, c'est son caractère.
C'est moi qui ai succédé à son père; il étoit fort ami du vôtre: homme un peu dérangé; sa fille est restée sans bien; la dame d'ici a voulu l'avoir; elle l'aime, la traite bien moins en suivante qu'en amie, lui a fait beaucoup de bien, lui en fera encore, et a offert même de la marier.
Vous n'avez rien, mon neveu, je dis rien qu'un peu d'espérance; vous êtes mon héritier, mais je me porte bien, et je ferai durer cela le plus longtemps que je pourrai, sans compter que je puis me marier.
C'est un homme d'un beau nom; ma fille et lui alloient avoir un procès ensemble, au sujet d'une terre considérable; il ne s'agissoit pas moins que de savoir à qui elle resteroit, et on a songé à les marier, pour empêcher qu'ils ne plaident.
Voici ce que c'est: on veut me marier avec monsieur le Comte Dorimont, pour éviter un grand procès que nous aurions ensemble au sujet d'une terre que je possède.
Je me remets; je vous disois qu'on veut nous marier.
Monsieur Remy me dit que son neveu m'aime, qu'il veut nous marier ensemble; Dorante est présent, et ne dit point non; il refuse devant moi un très riche parti; l'oncle s'en prend à moi, me dit que j'en suis cause.
Dorante n'a vu Marton ni de près ni de loin; c'est le procureur qui a débité cette fable-là à Marton, dans le dessein de les marier ensemble; et moi je n'ai pas osé l'en dédire, m'a dit Dorante, parce que j'aurois indisposé contre moi cette fille, qui a du crédit auprès de sa maîtresse, et qui a cru ensuite que c'étoit pour elle que je refusois les quinze mille livres de rente qu'on m'offroit.
Vous avez offert en différentes occasions de me marier.