367 adjectifs pour décrire révolution

Une révolution éclata, et ce changement, heureux pour l'Égypte, fut opéré par un militaire nommé Méneï, qui devint le chef de la nation, établit le gouvernement royal et transmit le pouvoir à ses descendants en ligne directe.

La révolution morale qui devait les transformer au gré de la nouvelle génération masculine a été prise de travers.

Il s'est trouvé que de toute cette révolution, démocratique, antilittéraire, antiartistique et antifinancière, qu'ils ont plus subie que faite, ce que les Français, en définitive, ont le plus aimé, c'est qu'elle était irréligieuse, et Voltaire était irréligieux, et il est sorti triomphant d'une révolution qu'il eût détestée.

Sa vie devait être agitée, comme la Révolution politique, philosophique, religieuse et sociale dont elle est issue et que reflètera son oeuvre.

Mais la révolution numérique change tout ceci.

Une révolution littéraire faite, non plus seulement en dehors de lui, mais contre lui, l'a servi encore.

«La seule solution possible est une révolution violente qui ne peut plus tarder d'arriver.

Le site propose aussi un échantillon de l'iconothèque numérique de la même époque, à savoir le fonds du photographe Eugène Atget, une sélection d'images sur l'écrivain Pierre Loti, une collection d'images de l'Ecole nationale des ponts et chaussées sur les grands travaux qui ont accompagné la révolution industrielle en France, et un choix de livres illustrés de la Bibliothèque du Musée de l'homme.

Il se fit en lui une de ces révolutions soudaines et complètes qui étaient tantôt le fléau, tantôt le salut de sa vie, et il écrivit à Thérèse: «Sois bénie, ma soeur adorée;

J'ai vu qu'elles supposoient toutes une révolution subite, également dangereuse pour les maîtres et pour les esclaves.

car, quelque raréfié qu'on suppose l'éther, il fera toujours obstacle à toute révolution sidérale, dans une période singulièrement plus courte que ne l'ont admis tous ces astronomes qui se sont appliqués à glisser sournoisement sur un point qu'ils jugeaient insoluble.

Ainsi, ajoutait-il, encore une campagne, et l'Europe, l'Angleterre, étaient vengées et préservées d'une révolution sanglante.

Sa vie devait être agitée, comme la Révolution politique, philosophique, religieuse et sociale dont elle est issue et que reflètera son oeuvre.

Et comme on parle de l'amour et de tous les sentiments complexes qui peuvent y entrer, il raconte l'histoire de son ami Malleville, enlevant une religieuse en diligence, vivant trois jours avec elle, au bout desquels, en apprenant qu'il était protestant, elle éprouva une telle révolution intérieure, que sa digestion fut dérangée.

mais, avec sa pénétration accoutumée, M. de Metternich reconnut bientôt qu'il était en présence, non d'une révolte passagère, mais d'une révolution naissante: «Il se peut, me dit de sa part le comte Appony, que nous ayons été un peu brusques;

Les trois cents premières pages, surtout, sont un parallèle constant, curieux, ingénieux, mais évidemment forcé, surprenant, quelquefois même déconcertant, et çà et ahurissant, entre les révolutions grecques et la Révolution française, et entre les personnages de celle-ci et de celles-là.

On en était au dernier terme quand la révolution belge éclata.

Revenu d'Amérique avec les plus nobles et les plus généreuses idées sur les principes qui devaient désormais régir les sociétés modernes, il concourut de tout son pouvoir à la révolution pacifique de 1789.

On ne sait pas assez en France qu'il y a eu en février 1845, dans le petit canton de Vaud, une révolution du genre de celle dont Genève s'est vue le théâtre en octobre 1846, mais une révolution plus radicale et sans aucun contre-poids.

L'Angleterre, sans se soucier beaucoup du succès de la révolution espagnole, avait fortement à coeur que l'Espagne restât parfaitement indépendante et que l'influence française n'y pût prévaloir.

Des révolutions successives et la guerre civile désolaient et ruinaient les États du Mexique;

M. de Metternich, dont la considération et l'influence avaient beaucoup grandi en Europe depuis qu'il avait si justement pressenti la faiblesse et si rapidement étouffé l'explosion des révolutions italiennes, reportait sur les affaires de la Péninsule espagnole toute sa sollicitude, et pressait les souverains et leurs ministres d'en délibérer en commun.

La Fayette partage et devance le mouvement irrésistible et confiant qui poussait la société d'alors vers une révolution universelle.

Le salut de la révolution morale, la victoire des principes, tenait à la révolution financière.

La Porte nourrissait depuis longtemps le désir de faire, à Tunis, une révolution analogue à celle qu'elle avait naguère accomplie à Tripoli, c'est-à-dire d'enlever à la régence de Tunis ce qu'elle avait conquis d'indépendance héréditaire, et de transformer le bey de Tunis en simple pacha.

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