16 adverbes pour décrire comment tempérer

» Il faudrait se bien représenter ici la physionomie du monde vivaient ses parents, une variété du grand monde, aimable, polie, distinguée de manières et de goût, mais fort tempérée d'idées, et sans mouvement à cet égard, sans initiative.

Ces choses, quoique sagement tempérées par les lois du royaume, ont quelquefois occasionné des partis, allumé des passions et causé des guerres civiles, dont la dernière fut heureusement terminée par l'aïeul du prince régnant, et la milice, alors établie dans le royaume, a toujours subsisté depuis pour prévenir de nouveaux désordres.

Depuis 1613, année Regnier mourut, jusqu'en 1782, année ou commencèrent les premiers chants d'André Chénier, je ne vois, en exceptant les dramatiques, de poëte parent de ces deux grands hommes que La Fontaine, qui en est comme un mélange agréablement tempéré.

et si des moeurs plus douces, si l'humanité, si l'intérêt même des colons ont tempéré les traitements barbares que leurs esclaves éprouvoient, cet esclavage est-il plus légitime?

Comme deux compagnons de route qui s'appuient l'un sur l'autre, les deux sexes échangent, par un contact journalier, la délicatesse de l'un contre la fermeté de l'autre, grâce à quoi ils se tempèrent, s'équilibrent et s'améliorent réciproquement.

Il s'agissait de savoir si le pouvoir passerait aux mains du côté droit tel qu'il s'était manifesté dans la session qui venait de finir, c'est-à-dire si les théories de M. de Bonald et les passions de M. de la Bourdonnaye faiblement tempérées par la prudence et l'influence encore novices de M. de Villèle, deviendraient la politique du gouvernement du Roi.

La plupart des écoles sont mixtes, et certes c'est un inconvénient, mais grandement tempéré par la forte idée du devoir que les Anglais inculquent dès la plus tendre enfance.

Au fond, personne ne fait attention que ç'a été un pouvoir, un gouvernement constitué, ce qui est quelque chose par ce temps-ci, et un gouvernement fort, le plus humainement tempéré par les moeurs, la philosophie, la littérature.

Je dis insupportable, car cette tristesse n'était nullement tempérée par une parcelle de ce sentiment dont l'essence poétique fait presque une volupté, et dont l'âme est généralement saisie en face des images naturelles les plus sombres de la désolation et de la terreur.

Et, pareillement, ce poète un peu timide, ce prosateur tempéré, «classique», eut l'esprit d'applaudir, tout de suite et sans aucune hésitation, aux nouveautés des Natchez et qu'il connut manuscrits.

mais presque toujours tempérée par une vérité désagréabledont on ne veut absolument pas.

Il est à observer, en poursuivant le même ordre d'idées, qu'au lieu de posséder une végétation vigoureuse et humide, cet archipel est extrêmement aride et remarquablement tempéré pour une région équatoriale.

elle voulait le montrer «sous un des aspects de sa rudesse apostolique, soudainement tempérée par sa suprême équité et sa bonté charmante.

Il y avait dans les lignes souples mais fièrement dessinées de son visage, dans ses lèvres entr'ouvertes, dans ses yeux noirs, toujours prêts à se baisser, je ne sais quelle fierté effarouchée que tempérait pourtant visiblement une bienveillance caressante.

La nature leur avait imprimé à un si haut degré les signes de la force, que l'on concevait qu'un peuple ainsi organisé aurait dérangé trop aisément l'équilibre du monde, si un profond sentiment de la justice et une extrême douceur n'eussent tempéré l'immense puissance physique dont ils étaient doués.

Le corollaire à en déduire est que le pur égoïsme, même dans ses résultats immédiats, est moins avantageusement égoïste que ne l'est l'égoïsme convenablement tempéré par l'altruisme, lequel, outre les plaisirs additionnels qu'il nous procure, nous donne aussi, par l'accroissement de la vitalité, une plus grande capacité pour éprouver des plaisirs en général.

16 adverbes pour décrire comment  tempérer