J'aime mieux ton âme.

Note 1: Non, Bérénice, tu n'ouvres pas ici franchement ton coeur.

Toi, ma fille, tu parles fort à ton aise de choses que tu n'es pas capable d'apprécier.

Peu parée, Bercer encor ton ami Endormi.

Bel enfant aux cheveux bouclés, Dors dans ton calme céleste. (Bis.

» Tu m'as ravi mon épouse au moyen de la magie, qui fit paraître à mes yeux ce fantôme de gazelle: c'était bien montrer complétement ton courage et tu fis là un exploit merveilleux!

bien, il était sergent, ton Jean-Baptiste.

J'ai la tête faible, vois-tu, et si j'avais embrassé trop tendrement ton

Bannis les de ton âme et songe à mes trophées, Qu'ils soient dorénavant ton unique entretien.

Au milieu des fougueux plaisirs où tu cherchais vainement ton refuge, l'esprit mystérieux vint te réclamer et te saisir.

Et d'ailleurs, ton père, si tu étais capable de diriger la maison, prendrait très volontiers des vacances....

Son oncle lui prit le bras et, le passant sous le sien, il continua d'un ton tout plein d'une tendre affection: Crois-tu que je ne t'aime pas assez pour mériter d'être ton confident?

tu es incapable de faire convenablement ton service, dès que la nacelle est à trente centimètres du sol.

Les roses deux fois l'an couronnent ton jardin;

c'est, ton droit! Habille-toi délicieusement, c'est ton droit!

Une agréable rêverie Remplace enfin cet enjoûment, Cette piquante étourderie, Qui désespéroient ton Amant;

Quant à l'autre, quant au côté moral, esthétique, comme disent tes chers Allemands, n'oublie pas ceci: le temps viendra peut-être où de folles volontés, où d'absurdes caprices ne te seront plus imposés;

pourtant nous nous demandons si ce qui leur semblait mauvais dans ces façons de dire ce n'était pas qu'elles s'éloignaient du ton ordinaire des chancelleries.

Je pourrai interpréter ta rêverie et faire parler éloquemment ton silence.

comment le libertinage souille-t-il un instant l'individu auquel il a été permis de respirer l'air que mon Aline épure? Quoi tu l'as vue, et des horreurs empoisonnent ton âme?...

Je te suis; n'espere pas pourtant, Qu'en me tirant des fers de ton injuste Pere, J'en sois moins ton Rival, ton cruel adversaire.

Vis dans ta honte, mais que ta honte ne meure pas avec toi, et que ces paroles fassent ton supplice dans l'avenir!Reportez-moi dans mon lit, et de mon lit à la tombe.

Tu vas tout savoir: et que ton père fut cruel, et que ton frère fut criminel, et que ton amante, ton épouse peut porter fièrement ton nom, et que ta fille a le droit de venir s'asseoir dans la maison des Montmorency.

Les gâteaux t'ont rendu tes ris apprivoisés, Ta sérénité d'âme un moment obscurcie, Et ton gazouillement qui chante et remercie!

maintenant tu as avalé goulument ton potage, tes réclamations sont vaines;