7 métaphores pour offensé

Du temps de Molière, le mot "scandaliser" se prenait quelquefois dans le sens de "décrier", "diffamer". (Voyez le dictionnaire de l'Académie, édition de 1694). - (17) "Offenser" est la traduction littéraire d'"offendere", mot dont le sens est beaucoup moins restreint en latin qu'en français.

En pareille circonstance, et selon la nature ou les motifs de l'agression, l'offensé est en droit de se demander si l'affaire ne doit point être remise dans les mains de la justice ordinaire.

S'ils jettent quelque chose à l'étranger, ou s'ils lui rient au nez, le père est tenu de laver chaque fois l'opprobre par d'autres présens, et la paix est faite alors; mais, s'il le refuse, l'offensé s'en plaint à ses amis, et revient deux ou trois ans après demander satisfaction à son hôte.

N'osant tirer l'épée dans ce lieu même, l'offensé sortit et envoya au Tasse un défi qu'il accepta.

Je dis au duc de le congédier sous un prétexte ou sous un autre, de lui faire au plus vite quitter le château..., que je m'apercevais qu'il avait pour moi un amour qui m'offensait comme une insolence.

Personne ne m'a plus offensé que ce traître-là.

Les bons se trouveront offensés comme les mauvais, les bienveillants comme les hostiles;

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