17 métaphores pour famine

Non, la grosse lourde barque de commerce vogue incessamment la famine amphibie, d'Amsterdam dans les mers du Nord, cette arche de Noé vous voyez ensemble femmes, enfants, chiens et chats, oiseaux qui naviguent en si grande paix: c'est un abri je voudrais réfugier mon pauvre Français, au mauvais temps qui va venir.

C'était, à chaque heure, Paris étranglé d'un lien plus étroit, la famine commençante, la réquisition des pommes de terre après celle des bêtes à cornes, le gaz refusé aux particuliers, bientôt les rues noires, sillonnées par le vol rouge des obus.

mais par malheur celui-ci épousa, en les exagérant, les préjugés de son prédécesseur, qui étaient aussi ceux de ses contemporains, et la plus cruelle famine fut la conséquence de ces erreurs.

Qu'ils restent jusqu'à ce que la famine et les maladies les consument.

L'histoire dit que la famine fut si cruelle, qu'ils mangèrent un leurs compagnons.

tandis que la guerre, la peste, la famine, les détruisent en gros, mais par intervalles.

la famine dévorante, rendant un fils méconnaissable à l'oeil même de sa mère;

et quand la famine, escortée de sa livide et décharnée famille, apparaît devant lui, il ne la reconnaît pas, ou bien il s'écrie que la famine est fille de l'agriculture.

... Eux que l'hiver cruel décime tous les jours, Eux que le froid transit, que la famine guette Sur l'arbre dépouillé du nid de leurs amours!

La famine est à l'horizon, et les Parisiennes élégantes commencent à transformer leurs cabinets de toilette en poulaillers.

la famine et le trouble augmentoient chaque jour;

la famine serait la loi commune.

pour eviter la famine, sortent de la terre de Chanaan, l'un pour aller en Egypte, & l'autre en la terre des Philistins, car la famine & la necessité est une marastre si prenante & facheuse, qu'elle conduit les plus foibles au tombeau & contrainct les plus robustes à de longs voyages, pour trouver remède à leur necessité.

Voulez-vous que la famine me morde avec sa gueule qui est , béante, devant moi, plus noire, plus puante, plus profonde qu'un tartare ou que le nez d'un moine?

De sorte que si tout ce que nous perdons pouvoit être transporté dans un autre Païs, sans qu'il en revint d'autre dans le nôtre, il est vraisemblable qu'il faudroit qu'il nous arrivât de tems à autre, une famine & une mortalité, afin que les parties de ceux qui tomberoient pussent servir à l'accroissement des autres, jusques à ce qu'il ne s'en trouvât absolument plus.

puis il revint sur ses pas, fit fouler aux pieds les semences, qui déjà étaient en herbe, et la famine le rendit maître du pays.

La guerre, les maladies, la famine, le froid, avaient tour à tour décimé la population et ruiné le pays.

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