Un frisson agita le maire.

Mon frisson douloureux agite ceux-là mêmes qui sont le plus insolents de bonheur, et si tu observes avec clairvoyance, tu verras à t'attendrir sur eux: l'attitude provocatrice de celui-ci cache mal sa faiblesse, à laquelle il voudrait échapper;

, un grand frisson me courut entre les épaules.

un frisson parcourut nos rangs: c'était l'empereur.

Quand les jockeys partent, un grand frisson parcourt la foule.

Et, qu'ils fussent violents ou calmes, quand le frisson de la fièvre infectieuse les gagnait, c'était la fin, le poison triomphant, volant des uns aux autres, les emportant tous dans le même flot de pourriture victorieuse.

Il me sembla, comme j'achevais cette phrase, que Claire avait eu le frisson,ce frisson nerveux, indice de santé après les repas,et que le vulgaire stupide appelle «la petite mort».

Un frisson involontaire le saisit:

une sueur froide passa sur son front, un frisson mortel courut dans ses veines à moitié vides;

Des frissons le parcouraient, du haut en bas, et passaient sur lui, mais sans l'affecter.

le frisson du saule, Incertain et léger, est presque une parole, Et, fort d'un âpre bruit et d'un souffle marin, Mystérieusement se lamente le pin De qui l'écorce à vif et le tronc écorché Semblent rouges du sang d'un satyre attaché...... Marsyas!

Des frissons lui passaient dans les membres;

Pendant que nous vaguions ainsi, à la froide rosée de la nuit, de châlet en châlet, sans qu'une porte voulût s'ouvrir à la voix des guides, les frissons qui sortaient des sapins et des cascades nous saisissaient;

puis dans le caveau des Héristel, et..." Mais un petit frisson me prit: "Eh!

Il était livide, un frisson le reprenait;

Son frisson de la mort le reprit

Quelques constellations çà et là dans l'azur pâle et profond, la terre toute noire, le ciel tout blanc, un frisson dans les brins d'herbe, partout le mystérieux saisissement du crépuscule.

Alors, un frisson glacial le saisit, et il jeta ou plutôt laissa tomber son épée et se retourna:

Un frisson secoua ses membres, il vit à la fois toutes les couleurs de l'arc-en-ciel.

dans la rue, le frisson du matin le secouait, le réveillait, et honteux, fâché contre les autres, il regagnait son petit logement de la rue Tronchet, où il avait si tranquillement dormi autrefois, et où maintenant il n'avait à passer avant la Chambre que quelques heures agitées.

Un frisson d'horreur le secoue, au souvenir de tant d'abominations qu'il vient d'entendre.

Ce frisson passa de nouveau dans ce petit bras dont elle entourait, ce jour-là, la taille du cavalier....

mais de temps à autre, un frisson de terreur le traversait, alors qu'il revoyait, plaquée comme un blanc mouchoir sur les vitres de la serre, la figure de James Vane, le guettant!

D'abord le frisson vient, le lit n'étant pas fade, Un frisson surhumain qui retourne: