15 métaphores pour genou

Levez-vous, cousin, levez-vous: votre coeur s'élève, je le sais, au moins à cette hauteur (portant la main à sa tête), bien que vos genoux s'abaissent.

son genou blanc comme la neige,et tout à côté de lui s'agenouilla,puis elle le baisa doucement.

Il se laissa tomber consterné auprès d'elle, et ses genoux amaigris frappèrent le pavé avec bruit;

Gabris, le voleur des champs, s'assit sur la pierre de l'âtre, balança ses genoux de droite à gauche et commença: «

Ses yeux voyaient à peine, ses oreilles n'entendaient guère, et ses genoux chancelaient.

suivez-moi, embrassons les genoux de Louis, et redemandons-lui Oronte!

Nos genoux heurtèrent l'orgue du choeur, je soulevai la lourde chape de chêne et les doigts d'Hyacinthe chantèrent la gloire triste de vivre dans l'indéniable et essentielle obscurité.

Son genou est un immense rocher.

tout à l'heure sa voix était un oracle, maintenant ses genoux sont un lieu d'asile.

Le vent, engouffré sous la voûte humide, poussait de ces gémissements qui ressemblent à des voix humaines, et par lesquels la nature, dans les nuits d'ouragan, semble déplorer des pertes inconnues: lamentations vagues, soupirs étouffés, sanglots qu'on dirait échappés d'une poitrine qui se brise, hurlements de victimes qu'oppresse le genou du meurtrier.

les genoux plient mal dans des cuissards d'acier.

Il ne s'inquiéta pas de savoir si c'était rendre un culte au passé, plier le genou devant un homme qui se croyait plus que lui et qui n'était devant Dieu que son égal et son semblable; s'il se battait et s'exposait au profit d'un maître qui pourrait bien devenir ingrat et despotique;

mais il le souleva à peine, et ses genoux ployèrent, et tous deux tombèrent côte à côte, et ils furent souillés de poussière.

Elle joint ses deux mains, elle se jette à mes pieds, elle serre mes genoux.

les genoux me tremblaient;

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