Cette littérature m'annonce que nous sommes au bord des massacres.

dans cette force, la littérature est un appoint

la littérature n'y était qu'une arme de faction surannée;

ses conquêtes s'étendirent donc avec celles de la civilisation et des lumières, et la littérature fut un arsenal ouvert à tous, où les faibles et les pauvres vinrent chaque jour chercher des armes.

La littérature fait assaut de croix et de décorations.

Pour lui, la littérature est la bête de l'Apocalypse.

mais il est navrant de penser que ces récompenses-là sont devenues nécessaires... »Remarquez, en effet, que la littérature est la seule branche d'art où abondent ainsi les prix d'argent...

Ce qui arrive pour elle est la preuve manifeste que la littérature d'imagination est déjà un cadavre.

Cette littérature sacrée de l'Inde a, de plus, un caractère qui la rapproche de la littérature hébraïque;

Cette littérature est un champ immense

La littérature n'est pas en effet autre chose que le développement artistique de l'idée, que la symbolisation de l'idée au moyen de héros imaginaires.

Si j'ajoute que ces basses histoires sont contées dans un style à la fois violent et recherché, on avouera que cette littérature est bien déjà le comble de «l'artificiel».

De là le temple superbe qu'on a bâti à la musique, lorsque presque en face, à l'autre bout d'une avenue, la littérature est en comparaison logée comme une petite bourgeoise froide, ennuyeuse, raisonneuse, et qui serait déplacée dans ce luxe d'entretenue.

] Ferdinand laissa pour héritier Alphonse Davalos, marquis del Vasto, son cousin, et c'est celui-ci surtout que la littérature italienne compte parmi ses plus illustres Mécènes.

] La littérature est à peu près la seule connaissance qui puisse s'enseigner utilement par la lecture des livres,

La littérature est d'abord la conscience d'une nationalité.

La littérature me consola.

Où a-t-il pu prendre cette singulière affirmation que la littérature lyrique de l'Écosse était, avant Burns, corrompue et licencieuse?

Walter Scott élevait donc à la valeur philosophique de l'histoire le roman, cette littérature qui, de siècle en siècle, incruste d'immortels diamants la couronne poétique des pays où se cultivent les lettres.

Mais nous sommes parvenus au temps de la conquête arabe, avec laquelle la littérature syriaque décline.

La littérature est une définition de l'homme.

Eh, mes Freres, il s'agit bien de devoir ici, la Littérature en est le délassement et la douce récréation.

La littérature des États-Unis est, en effet trop dépourvue de ces gracieux moyens d'idéalisation que les vieux mondes empruntent à leurs Ossians, Testaments,

des esprits tout envahis d'eux-mêmes, de leurs prétentions rivales, de leurs intérêts d'amour-propre, et, pour le dire d'un mot, des esprits trop souvent perdus de tous ces vices les plus hideux de tous que la littérature seule engendre dans ses régions basses.

D'un côté, et cela est particulier à ce peuple, cette littérature est une enquête instituée sur l'homme, toute positive et partant médiocrement belle, ou philosophique, mais très-exacte, très-minutieuse, très-utile, en outre très-morale, et cela à un tel degré que parfois la générosité ou la pureté de ses aspirations l'élèvent jusqu'à une région que nul artiste ou philosophe n'a dépassée.