Le mobilier était un brave ameublement sans prétention;

J'aime à parler de mon séjour dans cette petite chambre au premier, où je vivais en garçon, où mes papiers, mes souvenirs réunis, composaient à mes yeux un mobilier plus riche que tous ceux que naguère Jacob avait créés pour moi.

D'un regard clignotant, il évalua la salle à manger, le mobilier mesquin, le dîner modeste, et les convives, des bourgeois, assis autour de la table.

Il me supplie de prendre la clef de son appartement à Paris pour visiter ses meubles, et de lui dire à mon retour si son mobilier est en bon état.

En principe, le mobilier est le gage du propriétaire qui, ayant un privilège sur la valeur du mobilier qui garnit les lieux loués, peut même contraindre le locataire à réintégrer dans les lieux loués le mobilier qui a été déplacé.

Le mobilier serait incomplet si la bière manquait à la maison paternelle.

Le mobilier, en noyer verni, c'était ce lit, la petite table de nuit posée auprès, une commode dont le marbre se parait de carreaux tricotés, quelques chaises, l'une assez basse pour servir de prie-Dieu, une table et une petite bibliothèque en planche et en bâtons articulés.

La maison n'est pas à lui, son mobilier est au nom de son valet de chambre, qui est censé lui louer en garni, de même que ses chevaux et ses voitures sont au nom de son cocher, qui dit, lui, qu'il donne à loyer au vicomte des équipages magnifiques à tant par mois.

209] Le mobilier des dieux et celui des morts étaient pour une bonne part en pierre solide et durable.

Son mobilier était, de la plus grande simplicité, car le prudent armateur cachait avec soin ses richesses, de crainte d'attirer la convoitise du roi ou de ses rapaces ministres.

Ses traitements sont à l'abri de vos huissiers, son mobilier est au tapissier, et ses chevaux sont au nom de son valet de chambre... Reste l'hôtel... Oui, mais vermoulu d'hypothèques...

Le mobilier de ma grand'mère était du temps de Louis XVI, et elle n'avait pas de scrupule d'y introduire de temps en temps un objet plus moderne, lorsqu'il lui semblait commode ou joli.