9 métaphores pour provence

La Provence est le berceau de ses Rougon-Macquart, et la ville la plupart des personnages se meuvent, c'est Aix, qu'il a baptisée du nom fictif de Plassans, qu'on retrouve fréquemment dans son oeuvre.

] Quelle superbe contrée, disait le patron Jérôme, que cette Provence toute couverte d'oliviers, de pins et d'herbes odorantes!

l'espagnol savait que la Provence était un lot qui revenait au connétable comme fief de son nouveau royaume, il le servait mal et mollement.

La Provence est un pays de délices, qui produit toutes sortes de bonnes choses.

La Provence se rapproche, comme type, de la Savoie et de la Lorraine.

la réforme, la persécution contre l'hérésie nouvelle, qui fit brûler Berquin en 1529, Alaman, en 1530, la grande affaire des placards, la mort de Louise de Savoie (1531), l'empoisonnement du dauphin François par Montécuculli(1536), la guerre contre Charles-Quint, dont la Provence et la Picardie furent le théâtre (1530 et 1537).

La Provence est un transatlantique rapide, confortable, commandé par le plus affable des hommes.

Si la Provence est violente, elle est d'autant plus admirable en ces moments, violente de générosité et d'une véritable grandeur.

] La Provence a visité, a hébergé tous les peuples.

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