10 métaphores pour sapin

Le grand sapin était un ami spécial d'Auberte, le large geste de ses branches étendues était rempli d'amour et d'un secret appel.

Le sapin du père Jousse, déraciné et transporté par Chamay, le charron, est , paré, brillant!

Jeune fille, le sapin n'est pas beau, N'est pas beau comme le peuplier, Mais il garde son feuillage l'hiver. Hélas!

Les sapins de Norvège les enveloppaient d'obscurité et de silence, comme si tous deux étaient déjà sous terre, dans leurs cercueils.

Il a toutes les dimensions, ce sapin de Noël: il est tantôt un géant et tantôt un nain;

Un sévère sapin, vieilli dans l'Appenzell, A l'heure le matin au souffle universel Passe, des bois profonds balayant la lisière, Le preux ouvre son casque, et hors de la visière Sa longue barbe blanche et tranquille apparaît.

les sapins de la Raspelière, plus agités que quand s'élevait le vent du soir, coururent dans tous les sens pour nous éviter, et un domestique nouveau que je n'avais encore jamais vu vint nous ouvrir au perron, pendant que le fils du jardinier, trahissant des dispositions précoces, dévorait des yeux la place du moteur.

, pas un sapin! Aux boulevards, pas un sapin!

le sapin était l'arbre de l'exil, l'arbre qui avait protégé son enfance, et sous l'ombre duquel ses parents se reposaient peut-être en cet instant.

Que les hauts sapins, les frênes frais, Recouvrent mes bords plus bas, Et voient, penchés sur les bassins, Leur ombre dans un lit humide;

10 métaphores pour   sapin