17 métaphores pour étonnement

Puis, le sens de l'ouïe s'éveillant au fur et à mesure que l'étonnement donnait plus d'acuité à celui de la vue, le voyageur crut entendre le tintement d'une sonnette.

L'étonnement ne l'ahurit que trois ou quatre secondes: un flot mélangé d'horreur et d'autorité prête à jaillir l'inonda, l'oppressa.

Son étonnement était sans bornes.

Nous en avons dit assez pour que votre étonnement ait cessé.

Cette fois, l'étonnement de Pardaillan fut au comble.

Il avait si peu l'usage du monde, que ses étonnements n'étaient pas de longue durée.

Votre étonnement n'est pas flatteur...

LEAR.Votre nom, ma belle dame? GONERILLE.Allons, seigneur, cet étonnement est tout à fait du genre de vos autres nouvelles facéties.

L'étonnement fut immense.

En entrant chez moi pour faire ma toilette, mon étonnement ne fut pas médiocre de trouver un mot de l'un des plus intimes confidens de l'Empereur, qui m'engageait à me rendre au palais impérial avec la personne qu'on m'envoyait.

L'étonnement d'Olivier redoubla: car il était évident, d'après la réponse des jeunes garçons, qu'ils y avaient tous deux assisté, et il était étrange qu'ils eussent trouvé le temps de si bien travailler.

votre étonnement est un reproche cruel, et je ne le mérite que trop, cela est vrai pourtant;

Le danger d'échouer, l'étonnement de sa résistance, étaient des stimulants à cette passion moitié sentie, moitié factice.

en sorte que l'étonnement appartenant à Duncan, et les éloges à Macbeth, disputaient which should be thine or his.

A la vue de l'écriture, l'étonnement apparut sur sa face.

mon étonnement était au comble.

Son étonnement avait grandi en constatant que la porte du dortoir des garçons venait d'être fermée en dedans.

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