76 métaphores pour dent

Si, par exemple, ils voulaient louer la beauté d'une jeune fille, ils disaient que ses dents blanches étaient de beaux et parfaits parallélogrammes, que ses sourcils étaient un arc charmant ou une belle portion de cercle, que ses yeux formaient une ellipse admirable, que sa gorge était décorée de deux globes asymptotes, et ainsi du reste.

Sa maigreur, obtenue et maintenue à force de volonté, rendait plus apparente la robustesse de sa constitution, la grosseur de son ossature, ses mâchoires puissantes, ses dents larges, saines, splendides: des dents qui suggéraient au peintre l'irrévérencieuse tentation de la comparer mentalement à la silhouette sèche et dégingandée d'une jument de course.

Il y a de beaux hommes aux larges épaules, au nez aquilin, aux dents brillantes, à l'oeil sombre et profond, avec des regards tantôt vifs, tantôt mélancoliques.

Il avait des cheveux châtains, les yeux bruns, les dents charmantes, une main, un pied, à rendre une femme jalouse;

Les cheveux tout gris, les dents absentes, et ses vraies rides, ses soixante-cinq ans qu'il arrangeait si bien.

Ses sommets ont peu de brèche, ses dents s'arrondissent comme des bouillonnements saisis d'un brusque refroidissement.

Une fois la chute fut si forte que je croyais le terme arrivé, mais un bassin assez profond me reçut. Je ne sais comment j'en sortis: il me semble que les dents, à défaut des mains, saisirent quelque avance de roche.

que sa bouche est souriante! que ses dents sont blanches! comme sa main est douce et bien lavée.

Ses dents surtout sont un chef-d'oeuvre, et s'il se renferme toujours dans son bureau, c'est qu'il a l'habitude, dit-on, de les ôter pour travailler.

Désormais je mettrai ce précepte en pratique, Ainsi je serai moins mordu par la critique Dont la terrible dent ne cherche qu'à blesser! Août 1877.

si j'étais sûr! s'écria le chevalier les dents serrées.

Les dents lui claquaient, le pauvre homme!

Alors, la sueur de l'angoisse au front, les dents claquant de terreur, Pardaillan se retourne vers le groupe de Loïse et Montmorency;

, ses dents déjà tendues sur l'échiné du fuyard, je le clouai sur place.

ses dents grinçaient l'une contra l'autre.

surtout ceux qui restent avec trois belles-mères! Et, les yeux au ciel, les dents serrées, les poings fermés, tout crispé de la tête aux pieds, il articula rageusement: Oh!

Les dents des fils de l'homme sont des dards et des flèches, et leur langue a le tranchant du fer!

ses lèvres enveloppaient mes lèvres, ses dents choquaient mes dents, nos souffles se mêlaient.

Les dents de Malvina l'éblouirent encore.

Ses traits étaient réguliers, largement taillés comme ses membres, ses yeux noirs et bien fendus, ses dents éblouissantes, et ses longs cheveux châtains ondulés et crépus comme ceux d'un homme très-fort, encadraient carrément un front large et bien rempli, qui annonçait plus de finesse et de bon sens que d'idéal poétique.

Sa gloire a pâli, ses tempes sont dévastées, ses dents se sont éclaircies, sa faible voix (M. Parquet prononça ces mots d'une voix de stentor) ne porte plus, dans l'âme de ses adversaires et de ses juges, le frisson de la crainte ou les émotions de la conviction.

Le réveil du lion est dangereux, la dent du tigre est effrayante;

Ses dents inférieures essayaient de broyer les supérieures, tant elles se serraient.

Ses dents estoient posées alternativement sur ses gencives, comme les creneaux sur les murs d'un chasteau.

elle le vit marqué des signes naturels l'on reconnaît un roi, avec ses parures d'or épuré, ses longs bras, ses dents blanches, sa grande figure, sa bouche toujours béante, comme celle de la mort, héros semblable à une montagne, pareil aux nuées pluvieuses, invincible dans les combats aux magnanimes Rishis, aux Yakshas, aux Dânavas, aux Dieux mêmes.

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