Il y avait alors dans l'Église un moine de Cîteaux, de l'abbaye de Signy au diocèse de Reims, nommé Guillaume, et qui, avant de s'ensevelir dans l'obscurité d'une cellule, avait été dans la même contrée abbé bénédictin du couvent de Saint-Thierry, dont il conservait le surnom.

Mais, au lieu d'aller sonner à la grande porte de l'abbaye, elle se dirigea vers ces quelques chaumières qui s'étaient bâties autour du couvent des bénédictines, et entra dans une pauvre maison.

Le cloître de l'abbaye de Vézelay possède une belle citerne, du XIIe siècle, qui se compose de deux nefs voûtées soutenues par une rangée de petits piliers carrés.

Nous avons vu un autre exemple, dit Bodin, de Philippe Woselich, religieux de Cologne en l'abbaye de Kructen, lequel fut assiégé d'un démon, l'an 1550.

de l'abbaye de Tournus, p. 275; Poupardin, Monuments de l'histoire des abbayes de Saint-Philibert (Paris, 1905, in-8), p. 120, no 27.

les bâtiments de l'abbaye.

L'auteur du plan de l'abbaye de Saint-Gall (voy.

«Messieurs, dit Murville, à Dieu ne plaise que faute d'un moine l'abbaye faille!

Les murs de cette abbaye étaient ce qu'étaient alors tous les murs: de véritables fortifications.

et, sans quelques restes des cuisines de l'abbaye, que Rosine et Zélia, aussi bonnes qu'elles étaient étourdies, eurent soin de porter elles-mêmes à la pauvre Marthe, elle n'aurait pu supporter un manque de travail aussi long.

Cependant, pour fuir Sténio, elle s'est retirée dans les ruines d'une abbaye qui s'écroulent en une nuit de tempête.

Il avait résigné à l'abbé Favier son abbaye de Saint-Symphorien-lez-Beauvais, dont ce dernier ne savait trop que faire.

Ils tenaient à ce que leur Denis, fondateur de l'abbaye, et qui d'après le livre de ses Gestes, était en effet évêque d'Athènes, fût bien aussi l'Aréopagite, celui que saint Paul convertit[130]. Sans songer à l'orage qu'il allait soulever, Abélard communiqua sa découverte à quelques-uns des frères qui l'entouraient et leur montra en plaisantant le passage de Bède.

ANTIPHOLUS.Je ne suis jamais entré dans l'enceinte de cette abbaye;

En juin 932, Raoul était en Lyonnais, à Anse, où le 19 de ce mois, il confirmait, à la requête de Dalmace, les possessions de l'abbaye de Montolieu sises dans le pays de Carcassonne, en Narbonnais et en Razès, preuve manifeste de sa domination incontestée dans ces régions.

Il existe bien des lacunes dans la série des chartes de l'abbaye de Cluny qui concernent surtout les comtés de Mâcon, Châlon et Autun: ce n'est qu'en 924 que commence la série des actes datés de l'an du règne de Raoul.

Nous nous marions dans la chapelle de l'abbaye, ajouta-t-il;

Lui ayant demandé la cause de cela, respondit que ceste entrée estoit très périlleuse et que ceux qui s'ingeroyent de passer plus avant n'en retournoyent jamais dire nouvelles aux autres: ainsi qu'arriva (dit-il) il y a environ six ans (il racontoit l'histoire au commencement de l'année 1589), au prieur de l'abbaye de Margouline, à un François et à un Aleman, lesquels arrivez à ceste fosse furent avertis par moi de n'entrer dedans.

il y existe cependant des actes datés des années du règne de Raoul depuis la 1ère et la 3e jusqu'à la 11e et l'évêque de Poitiers, Frotier II, s'assura de l'assentiment de Raoul en même temps que de celui de Guillaume Tête d'Étoupe, pour donner tous ses biens à l'abbaye de Saint-Cyprien.

et l'évêque de Corinthe, qui n'est pas l'Aréopagite, est celui qu'on vénérait en France et qui a donné son nom à l'abbaye de Saint-Denis.

en tout cas c'est bien lui qui figure dans un acte de Richard en faveur de l'abbaye de Montiéramey, du 21 décembre 901, où il est qualifié de «fils de Richard».

Les dépendances de l'abbaye de Saint-Paul situées dans ce pays données à Allard par le roi Raoul.

prise d'une indisposition subite, elle fut forcée de s'arrêter au château de Mesnil-la-Belle, situé à quelques lieues seulement de l'abbaye qu'habitait le roi.

Dès les premiers jours de l'année suivante (1449), la dame de beauté quitta son gentil manoir pour rejoindre le roi alors à l'abbaye de Jumièges.

Ces églises étaient des églises paroissiales appartenant aux diocèses de Coutances et d'Avranches, à l'exception du prieuré Saint-Léonard-de-Vains, qui était la propriété de l'abbaye Saint-Etienne de Caen.