François de Beaumont des Adrets, qui s'est acquis par sa cruauté une triste célébrité dans les guerres de religion.

Il grava ces instructions si profondément dans son coeur, qu'il donna toujours à l'exercice de la religion et à la retraite, les momens qu'il dérobait aux fonctions de la royauté.

Je suis bien ignorante encore en matière de religion;

La commune ayant la police locale, il fit décider, le 23 vendémiaire (14 octobre), que les ministres d'aucune religion ne pourraient exercer leur culte hors des temples.

Il faut croire en Dieu et dans toutes les vérités de notre sainte religion.

Ils y verraient d'abord les principes d'une religion fondée sur l'adoration des forces de la nature,trait commun à toutes les religions primitives.

mais qu'il le faict par l'intelligence de ceulx de la nouvelle religion, qui ont prins

Seulement, s'il m'est permis d'émettre un voeu personnel, j'implore l'indulgence des juges pour cette jeune fille que l'ignorance de la vraie religion et les moeurs barbares de sa race ont poussé à des crimes que son coeur généreux désavoue.

mais la gloire de Dieu, l'intérêt de la religion, sa tendresse pour des sujets malheureux qui gémissaient dans un dur esclavage, ne lui permettaient pas de balancer sur le choix du parti qu'il avait à prendre.

Le pape sollicitait vivement la régente de ne point abandonner la cause de la religion, et de continuer à réduire les Albigeois, dont la mort du roi son mari avait arrêté la ruine totale.

Désirant donner au pape une marque du désir que j'ai de voir cette guerre si longue se terminer, et les malheurs qui affligent la nature humaine avoir un terme, je lui offre une manière honorable de sauver encore son honneur et le chef de la religion.

Si le marquis de Fumerol, un des grands noms de France, mourait sans les secours de la religion, le coup assurément serait terrible pour la noblesse en général et pour le comte de Tourneville en particulier.

Le despotisme, pour changer de forme et pour s'exercer au nom d'une religion dissidente, n'en fut pas moins complet.

» «Loys Vivès, au premier livre de la Vérité de la religion chrestienne, escrit, dit le même auteur, qu'ès terres nouvellement descouvertes n'y a chose si commune que les esprits qui apparoissent environ midy, tant ès villes comme aux champs, parlent aux hommes, leur commandent ou défendent quelque chose, les tourmentent, espouvantent et battent aussy...

Aggravée par la différence des religions, une telle méthode de gouvernement ne pouvait avoir d'autre conséquence que la révolte permanente des vaincus.

Dans le même temps, M. Maspero ne cessait pas d'analyser, dans la Revue critique, les livres qui y affluaient sur l'Égyptologie, de communiquer au Victoria Institute ses recherches sur les listes géographiques égyptiennes de la Palestine, et de développer, dans son Bulletin de la Revue de l'histoire des religions, ses théories sur la nature des mythes et des dieux égyptiens, qui prévalent depuis ce temps dans l'École.

Dans son livre si méthodique et si profond sur "la religion des gaulois", M. Alexandre Bertrand a solidement établi, ce semble, que les peuples à dolmens n'étaient point des celtes.

L'Église n'avait plus, à son avis, dans le monde et dans l'école, de docteurs célèbres et vigilants, capables de soutenir avec éclat la saine croyance, de représenter le véritable esprit de la religion.

Tout le monde disait du bien d'elle, et elle remplissait régulièrement ses devoirs de religion, en même temps qu'elle travaillait très bien, car c'est une bonne ouvrière.

pourtant, qu'un fanatique le persuade, demain, que je suis l'ennemi de sa religion, et il me tuera sans balancer.

«Allons, signora, dit la chanoinesse, qui, malgré son dépit contre la Porporina, ne pouvait s'empêcher de lui vouloir du bien, et qui, de plus, croyait accomplir un acte de religion;

A sa longue redingote ridicule, à ses longs souliers anglais, à son air d'instituteur sans place, à son col droit et à sa cravate blanche, à ses cheveux plats, à sa figure humble de faux prêtre d'une religion bâtarde, je reconnus aussitôt le premier pour un pasteur protestant.

f., mépris pour les choses de la religion.

et elle m'interdit la pratique de la religion;

on refuserait de lui vendre et de lui acheter: on ne croit pas, aux États-Unis, qu'un homme sans religion puisse être un honnête homme.