433 mots qui vont bien avec soupire

Ce sera trop tard, soupira la pauvre femme.

dit en soupirant Mme de Beule à Sefietje, il aurait bien pu rester à la maison un soir comme celui-ci.

Hélas! soupira la femme, moi qui arrive de France et qui dois partir demain de bon matin!

Merci, ma soeur, répondit le Caboulot: à cette condition, Gustave pardonnera peut-être! Que Dieu le veuille! soupira la jeune fille.

Le baron ne s'endormit pas, la chanoinesse ne soupira pas une seule fois;

Qui est ? soupira faiblement le jeune homme.

Si mes enfants étaient ici, dit en soupirant madame de Sévigné, je ne me refuserais pas à faire une tentative auprès de Monsieur, bien que Monsieur me connaisse à peine de nom, car il n'avait pas plus de onze ans, lorsque j'ai quitté la cour, à la mort de mon mari.

...» soupira Bernard, qui pensait à Aurélie, dont le fils gardait le regard de la fillette bavaroise prise à Moesskirch.

je trouve cela émouvant, soupira la comtesse... tellement émouvant! Vous n'imaginez pas...

Le havane de cet homme aimable était réellement exquis, et, tout en aspirant la fumée avec délice, je l'écoutais me mettre à nu l'envers d'un de ces coquets romans mondains qui font rêver les petits jeunes gens et soupirer les vieillards.

Il le faut bien, soupira ce tendre coeur.

Vous soupirez, ma reine, vos yeux se voilent;

Ce que c'est que de nous! soupira la tante Gillot.

Salomon me conjura de ne pas tirer, mais quand je lui dis de préparer les cartouches il se mit à l'oeuvre en soupirant et en marmottant des prières.

Il vaut mieux se rendre, soupira le malade.

je crois bien, j'ai soupiré tout le temps du souper, et, en ôtant sa robe ce soir, il trouvera un billet doux de moi dans sa poche.

ce nom-là, mon pauvre Albert, soupira Mlle Berthe

C'est qu'on s'amuse!...» Et il soupira de regret.

Que Dieu les aide! soupira la Buguet.

Victime foible et tremblante, A cette image sanglante Je soupire nuit et jour, Et, dans ma crainte mortelle, Je suis comme l'hirondelle Sous la griffe du vautour.

Enfin! soupira Bussy, comme s'il n'eût trouvé que ce mot pour exprimer tout ce qu'il pensait de son maître.

Mon frère! soupira la soeur.

L’idée poétique qui se dégage de cette opération du mouvement dans les lignes est l’hypothèse d’un être vaste, immense, compliqué, mais eurythmique, d’un animal plein de génie, souffrant et soupirant tous les soupirs et toutes les ambitions humaines.

Eh! soupira le père Lormier, comment vais-je m'y prendre pour annoncer cette triste nouvelle à ma femme et à mes pauvres filles... Tenez, mon ami, dit l'abbé Faguy, voici ce que vous devez faire D'abord, vous êtes trop bon chrétien pour ignorer que rien ne peut arriver sans la permission de Dieu.

Non, monsieur Roozeman, soupira Donat, mais cela ne vaut guère mieux: j'ai tué un homme, hélas!

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