voici que je te dis le contraire de ce que je t'ai dit d'abord.

Sur le moment où je t'ai dit que je t'aimais, sur celui où tu m'as répondu que j'étais aimé?

au moment où je vous ai dit: j'aime votre fille, vous avez cru

J'ai dit que M. de Méré était bon surtout à nous initier près des autres, et j'en profite jusqu'au bout.

Seulement, rappelle-toi ce que je t'ai dit: il faut garder le geste un peu étroit, la taille un peu raide.

J'ai dit qu'on n'a jamais su ce qu'était devenue Lucile.

Je le lui ai dit à lui-même, il y a trois mois.

En voilà encore un qui ne boude pas! C'est parce qu'il va retrouver ici Germain... que je t'ai dit que le compte du jeune homme serait bon...

J'ai dit au juif où j'allais.

comme je l'ai dit, dépassait un peu le bord inférieur d'un des petits tonneaux.

Madame, ainsi que je l'ai dit, avait attaché 3000 fr.

Je vous l'ai dit, une trentaine de mille francs.

M. le Curé est en bas, j’y ai dit d’entrer dans la salle.

Je vous ai dit que je ne me marierais pas.

Si j'ai dit, repartis-je qu'il a un petit génie, je n'ai dit que la vérité, mais je n'ai jamais parlé de lui sur ce pied qu'à des personnes dont j'étois sûre, qu'elles n'en feroient pas mauvais usage, comme votre soeur et vous.

Mais, grand-père, je vous ai dit le peu que je savais... et ce peu là, je l'ai appris tout en travaillant à la menuiserie du magasin de monsieur Lebrenn, le marchand de toile d'en face... Comment donc cela, mon garçon?

J'ai dit le premier que, dans la nature même de notre situation, dans l'origine de notre révolution, dans cette intervention si glorieuse de la force populaire dans le gouvernement, était la véritable, la principale cause du mal qui nous travaille.

J'ai dit combien elle tenait à la fortune.

Je ne sais pas si je vous ai dit, il y a quelque tems, que je m'étais séparé du docteur Polidori, quelques semaines avant mon départ de Diodati.

J'ai dit la tentative que j'avais faite dès le soir même pour pénétrer sur le théâtre, féliciter les artistes et interroger M. Miraglia, et comment il me fut répondu que M. Miraglia, étant en train de calmer l'exaltation de ses artistes, me recevrait le lendemain, à l'établissement même d'Aversa.

J'ai dit que j'étais inquiet de sa santé, et j'ai risqué ma tête.

J'ai dit ce que je sais et pense sur mon ami, et j'abandonne maintenant son caractère moral et littéraire au jugement du monde.

mais je ne trouvais personne de sûr à qui me confier, et je ne voulais rien hasarder par les motifs que je vous ai dit, lorsque ma bonne étoile amena, comme prisonnier à bord de la Couronne, un capitaine corsaire de mes amis, gaillard solide, entreprenant....., un homme enfin.

J'ai dit adieu à l'espoir;ôte cela.

Je l'ai dit et je le répète: