, mon cher Gondy, dit la duchesse, vous parlez comme l'Apocalypse.

l'Apocalypse est une splendide vision, mais elle se complaît dans trop de châtiments qui font Dieu vindicatif et méchant.

Un ingénieur sérieux n'a pas tous les jours l'occasion d'aborder le fantastique, et d'ajouter un animal de sa façon à la faune de l'Apocalypse ou aux créations des Mille et une Nuits.

» Dans un autre fameux endroit de Saint Pierre sur la Magistrature politique & le Sacerdoce, les Fidèles sont appellés le Sacerdoce Royal, de même que S. Jean, dans l'Apocalypse, dit:

Il se figure alors J. C. présent au milieu de l'Église, comme l'Ancien Testament regardoit l'Arche de Moïse toujours honorée de la présence du Très-Haut: cet Oracle est une similitude qui ne s'explique point dans le sens vulgaire, à moins de décorer l'Église de cette Majesté, propre à J. C. seul, qui est le Roi des Rois de la Terre, suivant l'Apocalypse I. 5.

L'Apocalypse le confirme: J. C. enjoint à Saint Paul d'écrire aux sept Anges des Églises d'Asie: c'est ne pas entendre le sens de l'Écriture que d'expliquer par le terme d'Ange chacune de ces Églises.

Ce n'est pas dans la vieille littérature prophétique qu'il faut classer ce livre, mais bien en tête de la littérature apocalyptique, comme premier modèle d'un genre de composition où devaient prendre place après lui les divers poèmes sibyllins, le Livre d'Hénoch, l'Apocalypse de Jean, l'Ascension d'Isaïe, le quatrième livre d'Esdras.

Il se peut qu'après les crises de l'an 68 (date de l'Apocalypse) et de l'an 70 (ruine de Jérusalem), le vieil apôtre, à l'âme ardente et mobile, désabusé de la croyance à une prochaine apparition du Fils de l'homme dans les nues, ait penché vers les idées qu'il trouvait autour de lui, et dont plusieurs s'amalgamaient assez bien avec certaines doctrines chrétiennes.

Outre les synoptiques, les Actes, les Épîtres de saint Paul, l'Apocalypse en font foi. Jean, III, 3, 5. Papias, loc.

La rage et le désespoir jetèrent les croyants dans le monde des visions et des rêves. La première apocalypse, le «Livre de Daniel,» parut.

Le Cumæum carmen (v. 4) était une sorte d'apocalypse sibylline, empreinte de la philosophie de l'histoire familière à l'Orient.

La grande théorie de l'apocalypse du Fils de l'homme est en effet réservée, dans les synoptiques, pour les chapitres qui précèdent le récit de la passion.

Newton croyait sa folle explication de l'Apocalypse aussi certaine que son système du monde.

Nous n'entendons pas toutefois décider si l'Apocalypse est de lui.

Le «Fils de l'homme,» dans cette Apocalypse bizarre, détrône les rois, les arrache à leur vie voluptueuse, les précipite dans l'enfer.

On a douté de la seconde Épître de S. Pierre, de l'Épître de S. Jude, des deux que nous avons sous le nom de Jean l'Ancien, de l'Apocalypse, & de l'Épître aux Hébreux.

Le peu de connoissance que l'on a du véritable Auteur de l'Épître aux Hébreux, & le doute où quelques-uns ont été si les deux derniéres Épîtres de S. Jean, & l'Apocalypse, sont de S. Jean l'Apôtre, ou de quelqu'autre qui ait eu le même nom, ne peuvent aucunement préjudicier à l'autorité de ces Écrits.

Enfin ni l'Auteur de l'Apocalypse n'a pu se mettre faussement dans l'esprit qu'il avoit avoit eu toutes ces Visions dont il dit que Dieu l'a honoré: ni celui de l'Épître aux Hébreux n'a pu se figurer sans raison, que l'Esprit de Dieu ou les autres Apôtres lui avoient apris les choses dont il a traité dans cette Épître.

il t'a parlé de la création du monde, ainsi que des destinées futures et de la transfiguration de toute créature et de toute bête d'après le livre de l'Apocalypse.

Son jugement était son apocalypse.

46 Apocalypse de Saint-Méthodius.

Le Sepher Jezirah, le Sohar et l'Apocalypse, 51 Commencement du Sohar.

le dieu Wronski, vrai savant celui-là, qui eut la gloire et le bonheur de retrouver les premiers théorèmes de la kabbale, et qui, en ayant vendu la communication cent cinquante mille francs à un riche imbécile nommé Arson, déclare dans un de ses livres les plus sérieux que ledit Arson, pour avoir refusé de le payer intégralement, est devenu réellement et en vérité la bête de l'Apocalypse.

Chez grand'mère, au fond de ce placard aux reliques où se tenait le livre des grandes terreurs d'Apocalypse: l'Histoire de la Bible, il y avait aussi plusieurs autres choses vénérables.

L'auteur de l'obscure Apocalypse (ce sont les propres mots du texte), lui permet de prendre sa fiole;