»Je suppose que Murray vous a envoyé, ou vous enverra (car je ne sais s'ils ont paru ou non) mon poème et mes poésies de l'été dernier.

Le carnaval commence, et il y a de tous côtés beaucoup de gaîté sans compter les affaires, car tout le monde ici renouvelle ses intrigues pour la saison;

Il est, à mon avis, quelque chose de plus, et autant que le sujet me permet d'en juger, il me semble très-bien écrit comme composition, et ne déparera pas la revue, car ceux même qui blâmeront son indulgence seront forcés de louer sa générosité.

Vous rappelez-vous un soir qu'il était tellement gris que je fus obligé de lui mettre son chapeau sur la tête, car lui n'en pouvait venir à bout?et ensuite je le descendis chez Brookes à peu près dans l'état où depuis on le descendit dans la tombe.

Elles ont d'effrayantes notions de constance, car j'ai vu de vieilles figures de quatre-vingts ans qui m'ont été montrées comme des amans dont la flamme durait depuis quarante, cinquante et soixante ans.

Il faut l'appeler poème, car ce n'est pas un drame, et je ne me soucie nullement de lui entendre donner un tel nom.

Je lui ai donné Forsyth, car il parle, ou, pour mieux dire, il lit un peu l'anglais, et il y trouvera un compte favorable rendu de lui-même.

car il s'est déjà amendé, et il est susceptible de le faire encore.

mais je vous assure qu'il le méritait bien, car je suis un homme paisible comme Candide, quoique mon étoile, comme la sienne, me force de tems à autre à renoncer à ma douceur naturelle.

car les Douglas et les Percy peuvent affronter tous deux le monde entier sous les armes.

«J'ai fini (c'est-à-dire j'ai grifonné, car la lime ne vient qu'après) quatre-vingt-dix-huit stances du quatrième chant, dont je me propose de faire le dernier.

car je ne suis pas très-bon calculateur.

D'ailleurs j'ai déjà trop et trop souvent publié,que Dieu me donne le jugement de faire ce qui sera le plus à propos en cela comme dans le reste, car je doute furieusement du mien.

Vous croyez peut-être qu'au jour du jugement vous arriverez au ciel eu vous rattachant aux pans de mon habit, mais je vous attraperai tous, car je porterai un spencer, je porterai un spencer.

sa très modeste boutique n'aurait pas pu contenir trois personnes, aussi n'entrait-on pas: on se tenait dehors, et quelquefois on faisait queue pour acheter de la galette, car c'est presque l'unique pâtisserie dont il faisait le débit, mais il en vendait depuis le matin jusqu'à minuit et quelquefois plus tard encore.

Mais la pesanteur le contraingnit de demeurer en bas: car au lieu de saulter, il tomba si lourdement qu'il se blessa fort en une jambe.

Au milieu d'eux était une espèce d'homme sec et basané qui avait le regard farouche et paraissait cependant dans une grande gaieté, car il faisait des sauts et des bonds avec une agilité inconcevable, et chantait d'une voix terrible:

Les tessiers sont pires que des évêques. (bis) Car du lundi, ils en font une fête, Branlons la navette, O gai, lon la, etc., Branlons la navette, Le beau temps reviendra.

Car du lundi, ils en font une fête (bis) Et le mardi, ils vont voir les fillettes, Et le mardi, ils vont voir les fillettes. (bis) Le mercredi, ils graissent des galettes, Le mercredi, ils graissent des galettes, (bis) Le jehueudi (jeudi) iz ont mal à la tête,

Il est bon pour le tisserand, car c'est un esprit chicaneur.

car, en cette langue, man-gueso est le nom de la pleine lune;

Nous sommes d'abord effarés, car nos yeux reçoivent des impressions de couleurs qu'ils n'ont jamais ressenties.

Oh! oui, il est lourd, dit Silvia, car c'est un piano à queue et à six octaves, de la fabrique de Pleyel;

car vous ne songerez pas alors à blâmer la cruelle nécessité qui nous force à abandonner notre amie.

«Il y en eut force qui ne le regrettèrent guère, car ils le craignaient plus qu'ils ne l'aimaient;