Le hasard faisait que le matin même il avait rencontré cet étranger de mauvaise mine, cheminant entre Bras dasse et... j'ai oublié le nom.

dées s'emparer de la place des choses.

©dait une puissance bien autrement grande que celle de chatouiller l'oreille par d'agréables vocalisations, et il se demanda pourquoi cette puissance expressive, qu'on ne pouvait méconnaître dans la mélodie, dans l'harmonie et aussi dans l'instrumentation, ne serait pas employée à produire des Å“uvres raisonnables, émouvantes, dignes enfin de l'intérêt d'un auditoire sérieux et des gens de goût.

que Steibelt, diraient les Allemands, sans être un pur contre-pointiste, possédait assez les secrets de la science harmonique pour écrire correctement et dans un idiome châtié la belle langue musicale.

Il possédait un esprit fin et charmant et cette distinction native bien préférable à tous les faux vernis d'éducation.

©dait bien plutôt de l'école de Kalkbrenner et Cramer, dont elle avait la netteté, l'allure correcte mais compassÃ

Hummel ne possédait pas le génie des grandes conceptions lyriques,

©férés et qu'il en procédait directement;

les qualités toutes spéciales du maître viennois, mais possédait en revanche et au suprême degré la grâce et la délicatesse, eut l'habileté pratique et l'esprit de ne pas changer ses qualités individuelles, tout en s'appropriant plusieurs des procédés en vogue.

à la tourmente révolutionnaire succédait le Directoire, ce gouvernement amoureux des fêtes et des plaisirs, que notre spirituel Auber définissait d'un mot: «le régent de la République».

©dait le grand style de l'orgue, le jeu correct et large, et j'ai gardé un précieux souvenir de cette audition.

©dait une exécution incomparable;

Aucun virtuose ne possédait, comme lui, les ressources de l'instrument-géant qui unit à la toute-puissance de l'orchestre, à la variété des timbres, les accents Ã

Il se servait de la pédale avec beaucoup d'art et de tact, et savait aussi opposer les contrastes heureux de douceur et de grâce aux effets puissants qu'il possédait mieux qu'aucun pianiste.

To se the dere draw to the dale, And leve the hilles hee, And shadow hem in the leves grene

About his char ther wenten whit alauns, Twenty and mo, as gret as any stere, To hunten at the leon or the dere.

Creseide his ladie dere, With look doun cast, and humble iyolden chere, Lo, the alderfist word him astart Was twice:

To loven.... But I with all mine herte and all my might, As I have said, woll love unto my last My owne dere herte, and all mine owne knight, In whiche mine

[Footnote 192: «Where is my owne lady lefe and dere?

Welcome ywis mine owne lady dere!...» Fro thence-forth he rideth up and doune, And every thing came him to remembraunce, As he rode forth by the places of the toune, In which he whilom had all his pleasaunce: «Lo, yonder saw I mine owne lady daunce, And in that temple with her eien clere, Me caught first my right lady dere.

Welcome ywis mine owne lady dere!...» Fro thence-forth he rideth up and doune, And every thing came him to remembraunce, As he rode forth by the places of the toune, In which he whilom had all his pleasaunce: «Lo, yonder saw I mine owne lady daunce, And in that temple with her eien clere, Me caught first my right lady dere.

lustely My dere herte laugh, and yonder play Saw her

And yonde so goodly gan she me behold, That to the death mine herte is to her hold.... «And at the corner in the yonder house, Herde I mine alderlevest lady dere, So womanly, with voice melodiouse, Singen so wel, so goodly and so clere,

A Godd'is half-penny, or a masse penny, Or yeve us of your brawn, if you have any, A dagon of your blanket, leve Dame, Our sustir dere, lo, here I write your name.

Their ears hungry of each word Which the dere tongue would afford, But their tongues restrained from walking