302 phrases avec le mot délassement

mais après avoir été sans cesse livré aux devoirs d'un soldat, j'éprouve un tendre délassement à m'occuper des détails et des devoirs d'un père de famille.

j'aime les arts, et je m'y entends assez pour y trouver un délassement et une distraction;

Décidément, je ne suis pas fait pour ce genre de délassement.

dit Homais, je m'étonne que, de nos jours, en un siècle de lumières, on s'obstine encore à proscrire un délassement intellectuel qui est inoffensif, moralisant et même hygiénique quelquefois, n'est-ce pas, docteur? Sans doute, répondit le médecin nonchalamment, soit que, ayant les mêmes idées, il voulût n'offenser personne, ou bien qu'il n'eût pas d'idées.

Mais le peuple ne tarde pas à s'apercevoir que les plaisirs qu'il peut se donner lui-même ne sont ni les seuls, ni les plus vifs qu'il soit capable de goûter: pour les classes livrées au travail, le délassement semble la première et presque l'unique condition du plaisir;

Un autre délassement était d'envoyer ses hussards incendier et massacrer, sans épargner ni femmes ni enfants, sur les terres des seigneurs bohêmes qui avaient embrassé le hussitisme.

Tel est le délassement que les vieillards «doivent prendre de la musique.

à coup sûr, c'est un genre inférieur, excellent à divertir et à «faire passer une heure ou deux», mais qu'un esprit judicieux ne considérera jamais que comme un délassement.

Le bruit de cet intermède musical éveilla l'autre homme qui, venant sur le pont et secouant la main de son adversaire, jura que le chant était sa passion, sa joie, sa plus grande jouissance, et qu'il n'aimait rien tant que ce délassement.

orateur selon le danger, poëte par délassement, musicien par occasion, amoureux par folles bouffées, j'ai tout vu, tout fait, tout usé.

on voit briller l'enseigne grecque Sur la porte, qu'un jet de tranchante clarté Fait scintiller ainsi qu'un thon que le flot noie; Tout est délassement, espoir, activité; Mais quel désir d'amour et de fécondité, Hélas! s'éveille au fond de toute grande joie! Et pour un nouveau joug, ô mortels!

Son délassement favori était de causer littérature avec quelques gens d'esprit;

Des milliers de visiteurs viennent constamment y chercher la santé, en toutes saisons, ainsi que la fraîcheur et le délassement pendant les chaleurs de l'été.

C'est qu'il est aisé de voir aux allures des habitants, à l'aspect même de la ville, qu'on est tout à fait étranger au mouvement de l'art, et que la musique y est considérée seulement comme un assez agréable délassement dont on use volontiers aux heures de loisir laissées par les affaires.

mais sachant que l'ouvrier a besoin de délassement, j'ai organisé pour eux et par eux une bande musicale, et une salle de gymnastique au moyen d'une association dont le médecin est le président.

Tel est son délassement.

Leur seul délassement est de se quereller d'un bateau à l'autre.

Cette prodigieuse contention d'une pensée unique, dans un homme qui n'a certainement pas eu une heure de détente ou de délassement dans sa vie, ne devait cependant pas abréger ses jours, car il y a très-peu de temps que j'ai reçu une lettre d'un de ses neveux qui me recommandait quelque chose ou quelqu'un en son nom.

L'amélioration de ses terres, dont il tirait un immense revenu, y faisait sa principale occupation, et l'étude de la philosophie platonicienne, son plus agréable délassement.

Il ne connaissait point de délassement plus doux, après les fatigues et le tumulte des affaires.

] Tandis que l'orage s'amoncelait, il poursuivait son infatigable labeur, passait dix-huit heures par jour à son bureau, fréquentait peu le monde: son délassement était de se faire lire le soir une tragédie de Corneille ou de Racine, parfois un chapitre de Don Quichotte;

nous y allâmes dès le même soir, à huit heures, et cette triste promenade nous faisait cependant un petit délassement.

La paix a favorisé le développement du goût de l'horticulture, devenu de nos jours le délassement de prédilection d'un grand nombre d'hommes éclairés, pris dans toutes les classes de la hiérarchie sociale.

Il y a tout simplement, répondit M. de Machault,que Son Altesse Royale, dont la porte est fermée à ses ministres, ne peut que trouver délassement et plaisir en la compagnie de son meilleur ami.

] L'apostolat de Pilegrin avait duré vingt ans, de 971 à 991, et l'on peut supposer que ce fut pendant cette longue suite de fatigues et de dangers que l'évêque, cherchant un délassement dans ses études favorites, mit la dernière main à son ouvrage: du moins, certains détails du livre présentent l'analogie la plus frappante avec les faits qui s'accomplissaient alors en Hongrie.

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