puis sa Nuit d'Ivan, fantaisie pour piano avec orchestre, entreprise sous l'influence de la Danse Macabre (de Liszt).

Quoi qu'il en soit, je n'avais pas le droit de professer à des élèves qui se destinaient à diverses branches de l'art musical: compositeur, chef d'orchestre, organiste, professeur, etc. Mais le pas était fait.

Mais c'est dans la classe d'orchestre que je devais faire preuve de toute la maîtrise dont j'étais capable.

Napravnik (chef d'orchestre et directeur de la scène) montrait de la réserve, mais fut attentif et précis comme à l'ordinaire.

Les répétitions d'orchestre se poursuivaient également en temps voulu.

Au printemps de 1880, j'ai fait un deuxième voyage à Moscou pour y diriger l'orchestre au concert de Schestakovsky.

Parmi les pièces d'orchestre, j'ai exécuté mon Antar et le Carnaval de Rome de Berlioz.

Au premier concert de cette saison à l'École Gratuite, Balakirev dirigea l'orchestre,

et il fut loin de me paraître aussi prestigieux chef d'orchestre que jadis

Il y avait des compositeurs de grand talent, et aussi de moins doués, voire de non-créateurs, mais des chefs d'orchestre, comme Dutch ou des solistes comme Lavrov.

Dès la première répétition, et à peine fut achevée sa première partie, que tout l'orchestre se mit à applaudir.

Je proposai à l'orchestre de lui dédier cette pièce et ma proposition fut acceptée avec plaisir.

Cependant, la saison présente de la vie musicale de Saint-Pétersbourg fut marquée par un grand événement: l'imprésario de Prague, Neimann, amena une troupe de l'opéra allemand et fit représenter au théâtre Marie l'Anneau des Niebelungen, de Wagner, sous la direction du chef d'orchestre Muck.

La première application de ce procédé et le renforcement de l'orchestre dans la partie des instruments à vent, fut mon orchestration de la «Polonaise» de Boris Godounov, faite pour l'exécution au concert.

Néanmoins, la valeur de ses oeuvres s'imposait à l'orchestre, et celui-ci montrait, pour lui faciliter la tâche, beaucoup de bonne volonté.

L'orchestre de Colonne était parfait, tous ses artistes aimables et zélés.

Le 23 octobre 1890, fut enfin représenté le Prince Igor, étudié assez bien par le chef d'orchestre Koutchera, car Napravnik refusa l'honneur de diriger l'opéra de Borodine.

Entre mes lectures, j'ai écrit de petits articles sur Glinka et Mozart, sur l'art du chef d'orchestre et sur l'instruction musicale.

Je mis tout mon soin à diriger l'orchestre.

Aux yeux de l'orchestre, son autorité musicale grandit, non pas d'année en année, mais de jour en jour.

Les exagérations orchestrales de la Mlada s'aplanissent déjà à partir de la Nuit de Noël; mais l'orchestre ne perd pas son pittoresque, et, au point de vue de l'éclat, l'orchestre de Mlada ne surpasse nullement la scène du quatrième tableau de Sadko.

Les exagérations orchestrales de la Mlada s'aplanissent déjà à partir de la Nuit de Noël; mais l'orchestre ne perd pas son pittoresque, et, au point de vue de l'éclat, l'orchestre de Mlada ne surpasse nullement la scène du quatrième tableau de Sadko.

La partie musicale était assez bien exécutée, par l'orchestre surtout;

L'orchestre était d'une composition ordinaire, et le choeur dans les coulisses seulement.

Le chef d'orchestre influent du théâtre impérial Marie et auteur, lui-même, de compositions musicales.