s'écria Fricoulet, en se jetant au cou de son ami. Mais à son cri, un autre cri, partant d'un autre tiroir avait répondu. Partis!

nous sommes partis!

Je le répète donc: nous sommes partis.

C'est peut-être parce que nous sommes partis en avance, balbutia Woriguin d'un ton de reproche.

... non, nous sommes partis à la seconde précise... mais pour tromper cet idiot de Farenheit, Ladislas et moi avions, à dessein, retardé nos montres d'une demi-heure.

partis des champs de foire, les lutteurs se produisent actuellement sur les planches des théâtres.

Nous sommes partis en hiver pour un pays si loin, si loin, que nous n'en sommes jamais revenus.

C'est à lui que tous les partis sans exception, radicaux, socialistes ou monarchistes, font constamment appel.

Considérant par exemple les institutions politiques du pays où nous vivons, nous avons fait voir que les partis en apparence les plus contraires: monarchistes, radicaux, impérialistes, socialistes, etc., ont un idéal absolument identique, et que cet idéal tient uniquement à la structure mentale de notre race, puisque, sous des noms analogues, on retrouve dans d'autres races un idéal tout à fait contraire.

On y rencontre dans tous les partis, chez les peuples latins surtout, une tendance invariable à résoudre les problèmes sociaux les plus compliqués par les principes abstraits les plus simples, et par des lois générales applicables à tous les cas.

On n'y tient compte que d'une éloquence appropriée au temps et au lieu, et des services rendus non à la patrie, mais aux partis.

Une foule perdrait aussitôt son caractère de foule si elle tenait compte aux meneurs des services rendus, que ce soit à la patrie ou aux partis.

Pourquoi sont-ils partis?

Différentes excursions des deux partis.

Alarmes, excursions des deux partis.

Excursions des deux partis.

partis tous deux pour aller joindre Warwick!

La plupart des invités sont partis, ayant des kilomètres à faire, dans l'obscurité et les ruines, pour regagner leur logis.

Je me hasardai donc à en demander la permission à l'Empereur, qui me l'accorda, et je partis, un matin.

Ensuite je partis pour Fontainebleau.

Je partis de Fontainebleau à une heure.

Les deux partis, après s'être observés quelque temps et recrutés chez les nations voisines, se préparèrent à une lutte suprême dont le résultat devait être la servitude éternelle ou l'affranchissement de la Germanie.

Car le roi, voyant ceux-ci appuyés également dans leur guerre au jansénisme, et par les amis de Fénelon, comme Beauvilliers, et par ceux de madame de Maintenon, comme le sulpicien Godet, par deux partis qu'il croit brouillés entre eux, le roi, dis-je, admirera une telle concordance et dira: «

Les dissentiments éclatèrent entre les deux partis qui divisaient l'armée.

Oui, l'un des deux partis est fou...