1962 phrases avec le mot plages
On attelle pour nous une carriole, où nous montons à la hâte, sous le décevant arrosage,et, en une heure maintenant, nous arriverons à Saint-Pierre, l'autre petite ville qui est là-bas loin des plages, sur les terres du centre, et où gît mélancoliquement la vieille maison familiale....
Il revoyait donc enfin celle qu'il avait souvent cherchée le long des rochers et sur les plages désertes qui avoisinent la Petite Marine: c'était Giovanna.
Dans les temps anciens, la mer baignait le pied des collines, mais, à une époque postérieure, ces plages peu inclinées servirent de lieu de décharge aux matériaux arrachés aux falaises du Boulonnais au nord, et à celles de la Normandie au sud.
Que de fois j'ai épié la couleuvre sur les plages embourbées de Saulons, qui n'entendent que le cri monotone de la foulque et le gémissement funèbre du grèbe!
La baie de Taio-Haé décrit un cercle, coupé par son étroit goulet, dans lequel Standard-Island n'eût pas trouvé place, d'autant moins que cette baie est sectionnée par deux plages de sable.
Ces plages sont séparées par une sorte de morne aux rudes escarpements, où se dressent encore les restes d'un fort construit par Porter en 1812.
Elle laisse dans l'est l'île de Houa-Houna (Kahuga), la plus orientale du premier groupe, dont on n'aperçoit que les lointaines hauteurs verdoyantes, et à laquelle les plages font défaut, son périmètre n'étant formé que de falaises coupées à pic.
...» Le paradis, dearest! (et sa voix était un souffle passionné) il est partout où vos adorables piedspetits cuttle fisches des plages de l'Adriatiqueprécèdent les miens, partout où je puis respirer votre haleine...
La fantaisie d'un empereur, le caprice d'un fou, de Paul Ier, envoyait des hommes nés sur les rives de la Néva, du Volga et du Don, mourir pour des princes dont ils ignoraient le nom, sur les plages de la Méditerranée.
bornant mes plus grands voyages à ces bois de la Limoise, qui me semblaient profonds comme les forêts primitives, ou bien a ces plages de l'«île», qui me mettaient un peu d'immensité dans les yeux lors de mes visites à mes vieilles tantes de Saint-Pierre-d'Oleron.
les grands sables, les grandes plages...
D'abord ces énormes galets noirs, pareils à des boulets de canon, choisis entre mille parmi ceux de la grand'côte, polis et roulés pendant des siècles sur les plages.
Ses plages s'étendent sans aucune courbure, droites, infinies, et les brisants de la mer, arrêtés par rien, aussi majestueux qu'à la côte saharienne, y déroulent, sur des lieues de longueur, avec de grands bruits, leur tristes volutes blanches.
Mais mes yeux venaient de s'habituer longuement à l'immensité des plages et de la mer; alors tout cela me parut rapetissé, diminué, enfermé, triste.
des coquilles ramassés sur les plages de l'«île» et d'autres, des «colonies», rapportées autrefois par des parents inconnus, et dénichées au grenier au fond de vieux coffres où elles sommeillaient depuis des années sous de la poussière.
de l'incendie de plusieurs navires et de divers phénomènes qui appartiennent à ces plages lointaines.
ce ciel serein, ce beau soleil, cette mer éblouissante, ces collines élyséennes, le bruit de vie et de joie perpétuelle de ce peuple d'enfants, d'amoureux, de musiciens, de poëtes, fourmillant sur les plages de cette côte, après m'avoir tant charmé autrefois, m'étaient devenus presque fastidieux alors.
Vrais nomades, ils habitent pendant la saison des chaleurs les fraîches vallées des Alpes, puis au commencement de l'automne descendent dans les vallées inférieures et enfin, lors de la chute des neiges, vont jouir du doux climat des plages maritimes.
Et ces concerts d'oiseaux, et ces floraisons des plages, et ces belles honnêtes femmes, les grâces, les douceurs et les enjouements, tout cela n'est à mes yeux qu'un désert peuplé de bêtes féroces et sauvages dont je détourne avec effroi les yeux!
De ce site on aperçoit les deux mers, les caps de l'Ionie, les sommets neigeux de l'Olympe, les plages dorées des îles, les voiles se repliant en entrant dans les anses ou se déployant en sortant des ports.
on était porté à lui prêter, en pareille matière, les notions superficielles d'une jolie baigneuse qui fréquente, chaque saison, les plages à la mode, et qui, pour s'y être promenée, coquettement coiffée d'un béret, avoir, sur le sable humide, dessiné des arabesques du bout de son ombrelle, péché aux creux des rochers quelques poignées de crevettes, coudoyé des gens de mer, se croit initiée à la «marine».
Les constructions de ce type qui ont été élevées par M. F. Arnodin à Bilbao (Espagne), entre les deux plages de Portugalete et de Las Arenas, sur les deux rives du Nervion (1889);
Lorsque, entre les années 113 et 101 avant notre ère, un déluge de Kimbri ou Cimbres vint désoler la Gaule, l'Espagne et l'Italie, la croyance générale fut «qu'ils sortaient des extrémités de l'occident, des plages glacées de l'océan du Nord, de la Chersonèse kimbrique, des bords de la Thétis kimbrique.
Alors le Séraphin t'appellera son frère, «Et, voyant dans ton coeur le trône de son Dieu, «Il te fera quitter les plages de la terre;
Cette masse renferme une matière calcaire blanche répandue en petites plages.
