116014 phrases avec le mot pris

La résistance avait pris des proportions inattendues.

La furie avait pris les soldats.

Du plus loin que Louis Bonaparte le vit, faisant dans sa pensée la comparaison que nous venons d'indiquer, il cria d'un air de triomphe au général: Eh bien? M. Louis Bonaparte est bien véritablement l'homme qui disait à l'un de ses ministres d'autrefois, de qui nous le tenons: Si j'avais été Charles X et si, dans les journées de Juillet, j'avais pris Laffitte, Benjamin Constant et Lafayette, je les aurais fait fusiller comme des chiens.

À Bordeaux, le général Bourjoly enjoint aux chefs de colonnes mobiles de «faire fusiller sur-le-champ tous les individus pris les armes à la main».

Un engagement eut lieu, un douanier fut tué, Charlet fut pris.

Ainsi cet homme, un beau matin a pris à la gorge la constitution, la république, la loi, la France;

Alors, pris de curiosité, il endossa son respirole et sortit, décidé à aller à la découverte.

[Illustration] Quand il eut constaté, puis contrôlé à diverses reprises cette circonstance, Sharp fut pris d'une fièvre délirante, folle

demanda l'ingénieur pris d'inquiétude, en accourant au chevet de son ami,... es-tu malade?

Comment, diable! veux-tu que l'on fasse des observations -dessus? Alors, riposta Gontran, comment s'y est-on pris pour évaluer cette vitesse? De la manière la plus simple du monde;

Plus tard, beaucoup d'herbagers et de bouchers, qui se rendent chaque jeudi au marché de Beaumont-en-Auge, ayant pris l'habitude de s'arrêter chez Morel pour y boire un verre ou y déjeuner, l'enseigne s'allongea et devint: «Au rendez-vous des jockeys et des marchands de bestiaux.

Deux pensionnaires de l'établissement, le nommé A... et le nommé B..., s'étaient pris, depuis longtemps, l'un pour l'autre, d'une vive animosité.

La conversation d'un lieutenant pris de boisson me mit bientôt au courant.

j'apprends qu'il s'est follement jeté dans la fournaise de la dernière insurrection de Vienne, qu'il a été pris, jugé, condamné et fusillé!

» Convaincu, par la tournure qu'avait pris la conversation, qu'il n'existait, entre le duc d'Otrante et M. de Metternich, aucune relation antérieure;

les alliés doivent avoir pris sur ce point une détermination?»«Je l'ignore;

on est irrité contre soi-même du plaisir qu'on a pris à cette admirable histoire, parce qu'il y a , en effet, beaucoup plus de l'homme moral que d'autre chose, et qu'un seul discours du héros compense à merveille les moulins à vent et l'armet de Membrin.

Je pris donc place dans cette enceinte muette, sans que même un honnête boucher se trouvât derrière moi, escorté de quelque bonne exclamation admirative.

Mais elle ne souffrait pas de rivale, et M. de Lally ayant commis l'imprudence, pendant les trois ou quatre mois que Mme d'Hénin avait passés en France, d'aller à Cossey, il s'était amusé comme un écolier en vacances, elle avait pris lady Jerningham en horreur.

M. de Vitrolles s'était pris ou feignait d'être pris pour elle, malgré son âge, malgré son effrayante maigreur, d'une passion inexplicable, effrénée.

CINQ ANS On disait à un bon homme qu'Abdel-Kader avait cinq camps lorsqu'on l'a pris.

, clef d'or qu'ont au derrière Mes collègues les chambellans, Pour vivre enfin à ma manière, Ma foi, j'ai pris la clef des champs.

il avait, par son dévouement, pris un certain ascendant sur ce monarque, ce qui donna lieu à cette pointe des protestants:

[Note 87: A partir de 1661, on inquiéta les usurpateurs de noblesse. (Subligny, Muse dauphine, in-12, p. 235.) La Fontaine fut condamné, en 1662, à 2,000 fr. d'amende pour avoir pris indûment le titre d'écuyer. (V. son Histoire, par Walckenaër, 1re édit.

l'autre estoit un liévre fée, qui de son costé avoit eu le don de n'estre jamais pris par quelque chien qui le poursuivist.

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