, comme L 143 et H 188, sauf une variante: est que au lieu de c'est que. La santé de l'âme n'est pas plus assurée..., comme H 81, sauf trois variantes: que nous puissions au lieu de que nous paraissionspoint encore au lieu de pas encoreque l'on est au lieu de qu'on l'est. (

Parce que au moment où j'allais entrer chez vous, j'ai aperçu Keinec qui rôdait au bout du village, et que je ne voulais pas le perdre de vue.

Vous me voulez rendre petit guerredon (récompense) des grands biens que au temps passé je vous ai faits.

où ilz se tiennent ordinairement, car ilz ne vyennent à la mer que au temps de la pescherye, ainsi que j'ay sceu et entendu

Pareillement y croist de groz mil, comme poix, ainsi que au Bresil, qu'ilz mangent en lieu de pain, de quoy ilz auoyent tout plain aueques eulx, qu'i nomment en leur langaige Kagaige;

Bien souventesfois advenoit Que voirement je la songoie Toute telle joye sy me prenoit Que au lit chantoie et pleuroye Puis moy resveillé j'enragoye Que ne la veoie illec Et maintesfoys place changoye En faisant des piés le chevet

a l'aide & par le commandement des trois dames de vertus / c'est assavoir Raison droicture & justice la cité des dames par la forme & maniere que au contenu de ladicte cité est declairé.

et ne fera chiere ne semblant que au cueur en ait nul desplaisir / mais tout au plus tost qu'elle pourra par aucune bonne voye que ja de loings aura ouverte des le commencement que les condicions de sa maistresse vit changier se departira de court par le bon vouloir du seigneur se elle peut / mais se elle est bonne & saige se gardera bien que ne puisse appercevoir pourquoy se veult partir.

Et doit tant faire s'elle peut ceste saige dame vers son mary par doulces parolles & bons admonnestemens que ilz advisent ensemble & disposent de tenir tel estat comme leurdicte revenue pourra fournir / & non mye si grant par dessus que au bout de l'an se treuvent en debtes vers leurs maisgnies ou autres crediteurs Car sans faille ce n'est point honte de tenir estat selon sa terre ou rente soit ores petit.

Avec ce doit admonnester son mary que ilz vivent si sobrement que la despence ne passe la gaigne si que au bout de l'an se treuvent en debtes se elle a enfans leur face aprendre premierement a l'escolle affin qu'ilz puissent & sachent mieulx servir dieu aprés soyent mis a aulcun mestier par quoy leur vie puissent avoir.

si la verront & orront vaillans dames & femmes d'auctorité au temps present & en celluy advenir qui prieront dieu pour leur servante christine desirans que de leur temps fust sa vie au siecle ou que veoir la puissent ausquelles toutes plaise que tant que au monde sera vivant la vueillent avoir en grace & memoire par amyables salus

Le mieulx a son gré entre mille C'est le plus riche de la ville Conclusion par quoy je doubte Que au long d'elle ne me reboute Par povreté a ce besoing J'ay bien cause de faire doubte De peur d'estre jetté au loing

et tant que au bout de cinq sepmaines, lesdits Anglois se rendirent, et mirent ledit Chasteau Gaillard en l'obéissance du roy...»

«Le roi se tint tout coi et les regarda moult fellement (cruellement), car moult héait (haissait) les habitants de Calais pour les grands dommages et contraires que au temps passé sur mer lui avaient faits.

Et pour ce qu'il vouloit mieulx boire et puiser à la fontaine que au trouble ruissel envoia-il à Romme deulx clers pour apprendre la manière et les chans des Romains.

Lors requist et pria à l'empereur Charlemaines que au moins demourast jusques au lendemain, se plus ne luy plaisoit à demourer.

Mais, Dieu merci, je suis tant accoustumé de tels blasmes continuels, qu'il ne m'en soucie de rien, puisque j'ai apaisement à ma conscience, que je marche en ce faict ouvertement, sans avoir aultre regard que au bien et tranquillité de nostre patrie; et en cela je prie à Dieu faire ainsi à mon âme.

Qu'il ordonne de lui adresser directement les placets et les demandesque les solliciteurs avaient pris l'habitude de remettre aux secrétaires d'Étatafin que tout le monde sache bien qu'il est l'unique dispensateur des grâces «et en cet faysant on n'en sauré gré que au Roy et ne suivra-t-on plus que luy».

et il me dit que il avoit trouvé de certein, que au giet d'une pierre menue, entour son paveillon tenoient cil leur bordiaus à qui il avoit donné congié, et ou temps du plus grant meschief que l'ost eust onques été.

Il sceut, au rapport d'aucuns ses serviteurs qui en ce cas le servoient, que au dit Vrelenchem avoit une très belle fille, gente de corps et en bon point.

Il est vray que au Quesnoy vint une belle fille naguères au prevost se complaindre de force et violance en elle perpetrée et commise par le vouloir desordonné d'un jeune compaignon.

Premier dit que pour la suspicion qu'il avoit de la desloyaulté d'elle, craindoit trèsfort estre du reng de bleuz vestuz, qu'on appelle communement noz amis, et que au moien de ceste suspicion estoit il ainsi tost retourné.

laquelle chose voyant son bon fils, commença tant fort à plorer et soy desconforter que jamais ne fut veu le pareil, et n'estoit nul qui conforter le sceust; tant fort mesmes le print il au cueur que devant n'en tenoit compte par semblant, que au bout de quinze jours de dueil il mourut.

Quand il entra en la bonne ville, et qu'il chevauchoit parmi les rues, il perceut que les prestres faisoient provision de palmes et aultres verdures, et veoit que au marché on les vendoit pour servir à la procession pour lendemain.

car je savois bien que au temps à venir et quand je serai mort, sera cette haute et noble histoire en grand cours, et y prendront tous nobles et vaillants hommes plaisance et exemple de bien faire;