Le jeune homme s'avance,«Permets-tu que je passe ce cordon au cou de ta fille?Oui!» répond le beau-père.

Ses derniers mots étaient ceux-ci: «J'espère que ta santé se soutiendra et que tu pourras me rejoindre...

La terre de Norton, avec les maisons et les familles, est portée dans ta main comme le globe dans la main de Charlemagne.

Ange de délivrance, que ta paix est douce!

Les flots, perdant leur saveur âcre, Sur ta bouche, en miel couleront.

A ta gloire il faut que je fende Les naseaux de ces capitans.

Au ruisseau qui gêne ta marche Et pourrait salir tes pieds blancs, Corps du Christ!

D'où te vient cette robe étrange Qui semble faite de ta chair, Trame vivante qui mélange Avec ta peau son rose clair?

vingt fois modelée et peinte, Ta forme connaît sa splendeur.

Pense que de ta résolution peut-être dépend le salut du Vaterland.

Je partage ta prison.

te voilà de nouveau près de moi et ta présence chasse toutes mes peines

Déjà ta présence me console presque de la disparition du petit;

C'est te dire combien ferme est ma conviction que tu as tout fait pour le mieux, quoi qu'il soit arrivé. Thor, je te remercie de ta confiance.

penche la tête douloureusement et dit: Non, Carry, je sais qu'il n'y a pas de ta faute, pas plus que de la mienne ou de n'importe qui.

Aussitôt que je serai ta femme, Thor, répond Carry qui semble elle-même en proie à des sentiments inaccoutumés, car elle tremble de tous ses membres et couvre son fiancé de baisers ardents.

pour surélevé qu'il soit, cela me procure un accès plus commode par ta fenêtre.

D'abord, donne-moi une fois encore ta main d'ami, que je la presse, fait le petit homme barbu, en secouant énergiquement la droite de Tornten;

Bientôt je te conduirai là où tu pourras assouvir ta vengeance.

Je te conduirai là où tu pourras assouvir ta vengeance.

çà, Vincent, disait Mireille, quand tu as pris ta bourrée d'osier sur tes épaules pour aller çà et là raccommoder les corbeilles, en dois-tu voir, dans tes voyages, des vieux châteaux, des déserts sauvages, des villages, des fêtes, des pèlerinages!

et toi aussi, Adolphe Dumas, qui trempes ta noble lyre dans l'écume de notre Durance débordée!

Voyons, donne-moi ta parure verte, ta grosse croix, les boucles d'oreilles que cet Espagnol t'a envoyées.

Voilà ta part!

Et qui te dit que je toucherais à ta part de festin?