20955 phrases avec le mot traire
Il devoit bien tiex floiches traire,
Ne me lessierent avant traire, Que je m'en cremoie mal faire.
Mez ne s'osoit traire en avant, Car Amours l'aloit espiant.
Ge me commençai lors à traire Vers le bouton qui soef flaire; Mès Amors ot jà recovrée Une autre floiche à or ovrée.
la sajete n'en poi traire Por riens que ge péusse faire.
doit à grant contraire, Car se tu n'en péusses traire Fors seulement ung biau salu,
Trop li fesoit Amors mal traire:
Mès qui de près en vosist traire
Si de près on le voulait traire.
Traire signifie tirer, lancer.
On dit encore tirer de l'arc, du pistolet, etc. Traire était encore usité au XVIIe siècle.
On le trouve dans Molière: «Mon Dieu, je sais l'art de traire les hommes.
Mès ne s'osoit traire en avant, Car Amours l'aloit espiant.
Il est vrai que quelques lignes plus bas: «L'Amant qui ne s'osoit traire en avant,» c'est-à-dire se traîner en avant (une fois blessé), semblait justifier cette interprétation.
Mez ne s'osoit traire en avant, Car Amours l'aloit espiant.
demanda le père Guillaume à une fillette qui venait de traire ses vaches.
Ces mains peuvent-elles boulanger, filer, traire ou faire quoi que ce soit d'utile?
certainement que son imbécile de mari doit s'attendre à ce qu'elle en fera de drôles en fait de traire les vaches et de fabriquer le beurre.
C'est sur cette montagne couverte de bruyères, Et dans cette vallée pleine de taillis, Nous n'osons pas aller traire les vaches À cause de Charlie et de ses hommes.
Je voudrais, comme autrefois, traire nos vaches et battre notre beurre;
de tous sens cernèrent la ville, les perrières firent lancier, les batailles aprochier, arcs et arbalestes traire et dars ruer;
et, dans les Encyclopédies chinoises et japonaises, comme aussi dans le Pian-y-tien, si l'on donne la figure d'un habitant du Fou-sang, on le dessine, en effet, occupé à traire une biche, à petites taches rondes;
En effet, dans la figure, des Américains à demi-vétus, à demi-policés du Fou-sang, que donne le Pian-y tien, et aussi l'Encyclopédie chinoise, et que nous reproduisons ici avec une explication (voir ci-après notre planche 50 et l'appendice C), on voit cet indigène, traire une jeune biche à mouchetures blanches, et son faon est également moucheté.
Pour boire, on n'a qu'une gamelle, celle qui a servi à traire le lait ou à puiser l'eau.
elle éprouvait des bonheurs de femme grosse à traire sa chèvre.
