Quelle préposition utiliser avec cogner
Mes hommes allaient et venaient, cognant aux portes.
Mais je n'ignore pas (moi, aussi, je suis savant) qu'un jour, parce qu'il m'avait arrêté la main, au moment où je levais mon poignard pour percer le sein d'une femme, je le saisis par les cheveux avec un bras de fer, et le fis tournoyer dans l'air avec une telle vitesse, que la chevelure me resta dans la main, et que son corps, lancé par la force centrifuge, alla cogner contre le tronc d'un chêne ...
Elle fit descendre le cocher et lui ordonna de cogner avec le manche de son fouet, ce qu'il fit.
Il ne se passera pas longtemps avant que vous voyiez mes griffes qui ont cogné sur la boule de Figg et sur celle de Jack Broughton et celle de Harry Gray et bien d'autres boxeurs fameux qui se battaient pour gagner leur pain, avant que vos pères fussent capables de manger leur soupe.
Nanon vint cogner au mur pour inviter son maître à descendre: le dîner était servi.
j'espère que j'ai quelque chose de meilleur là-dessous,» dit le petit homme en cognant de toutes ses forces sur son gilet, et en laissant dégringoler une larme de chaque oeil, ce qui était fort extraordinaire, car jamais auparavant une goutte d'eau n'avait touché son visage.
CAMILLE.Qui est-ce qui peut cogner dans notre jardin? MADELEINE.C'est sans doute dans le bois.
Peut-on cogner comme ça, dit Nanon.
Cependant j'en avais assez de cogner en sourd sans jamais rien recueillir de bon;
Et puis se cogner entre soi, c'est mal, c'est très-mal... Voyons, puis-je compter sur vous? Oui.
, le jour où le publicain lui présente un mémoire établissant qu'il doit à son hôte près du double de ce qu'il croyait posséder encore. Cette fois le pigeon se regimbe et va cogner pour de bon, mais en prévision du grabuge le logeur a stipendié ses satellites ordinaires qui maîtrisent le récalcitrant.
Tout d'un coup le lièvre lui part sous le nez, et voilà la Finette qui s'en va raide, donnant à pleine gueule, cognant après lui qui arpente de grands coteaux pour gagner de l'avance, afin d'avoir le temps de ruser, et d'embrouiller sa voie sur les chemins, et dans les friches pierreuses.
Après ce renseignement qui expliquait comment il était arrivé au secours des assassins, Meuzelin continua: Quand Pancrace et moi, nous nous escrimions à cogner sous vos pieds, nous avions peur ou de n'être pas entendus par vous ou que vous ne comprissiez point qu'il vous fallait dégager la trappe de la lourde épaisseur des décombres qui nous empêchait de la soulever.