Quelle préposition utiliser avec grâces
La comtesse Marcian Gregoryi a jeté un regard favorable sur Georges Cadoudal... C'est grâce à elle qu'il a évité aujourd'hui le sort de ses complices... un sort plus cruel, René, car on a quelques mesures à garder vis-à-vis de deux généraux illustres, ayant conduit si souvent les armées républicaines à la victoire;
gronda-t-il entre ses dents serrées, je possède les bonnes grâces du premier consul...
Le roi tira son épée, et, s'élançant dans la caverne, il se préparait à les frapper, quand ceux-ci demandèrent grâce pour leur vie.
Le livre des saisons recommence la série de ses contes charmants; grâces au Ciel, nous voilà revenus à son plus gracieux chapitre: il a pour frontispice et pour vignette les violettes et le muguet qu'on ne retrouve jamais sans plaisir sur les pages de sa vie, que malgré soi on tourne et on retourne périodiquement.
Tu vois que, lorsqu'on veut devenir célèbre, il faut se plonger avec grâce dans des fleuves de sang, alimentés par de la chair à canon.
Et en effet, grâces en soient rendues à l'Eternel, on a reconnu l'absurdité de la doctrine autrefois reçue, qu'une nation pour être puissante doive appauvrir et rabaisser les peuples qui l'environnent: doctrine impie, qui Accuserait l'Ordonnateur Suprême de toutes choses d'avoir fondé le bien-être temporel des nations sur la méchanceté et l'égoïsme, et non sur la liberté, la paix et l'affection mutuelle.
Il devenait bon lui-même, de la bonté universelle, et il n'était que sa seconde femme, Henriette, qui ne trouvât pas grâce devant sa mansuétude envers l'humanité.
comme un enfant qui a conscience d'avoir fait des sottises, et qui se sait chéri, elle demandait grâce avec ses yeux, qui avaient plus de charme et de persuasion que toute parole humaine.
-même s'exprime avec autant d'originalité que de grâce sur cette contradiction perpétuelle qui révoltait sa raison
Concession de quelque grâce par un prince.
C'est différent, si vous n'aviez pas de large ici... mais je rends grâces à Dieu!
La déclaration du prêtre le jeta dans la stupeur, et, grâce sans doute aux prières de son épouse et de sa fille, la stupeur produisit l'effroi, avec le désir de la conversion.
Rendons grâces au directoire: c'est à lui que nous devons le salut de la patrie.
Quand il lui faut décrire un objet ou un ensemble, noter un dialogue, exprimer une idée, il ne tente pas de choisir, entre les termes exacts possibles, ceux doués de qualités communes indépendantes de leur sens, la sonorité et la splendeur comme chez Flaubert, le mouvement et la grâce comme chez les de Goncourt, la rudesse cladélienne ou la noblesse et le mystère de M. Villiers de l'Isle-Adam.
qu'un gladiateur qui sait mourir avec grâce sous les yeux du spectateur.
Je ne demande qu'une seule grâce avant de me soumettre à cet arrêt de mort, dit Orio: c'est que ma défense soit entendue et ma conduite jugée.
Grâces à vous, monsieur.
Vingt fois elle m'a chassé, et vingt fois j'ai été lui demander ma grâce après avoir vainement essayé de vivre sans elle.
Le trésor particulier de Sa Majesté, placé entre le vice et la contrition, rendait nombreux et infaillibles ces miracles de la grâce entre les mains de l'impératrice.
Si ce vice de prononciation était une grâce chez lui dans certains momens, lorsqu'il commandait la manoeuvre ou qu'il était ému, vous ne sauriez imaginer quelle sécurité de puissance exprimait cette accentuation si vulgaire à Paris;
seulement il suit Votre Grâce depuis le Palais-Royal, s'est arrêté au Louvre pour attendre sa sortie, et repart du Louvre avec elle. Quelque espion du cardinal, dit de Winter à part lui;
Tu as montré tes grâces pendant vingt ans.
car la façon tout aimable de gouverner qu'a prise Votre Grâce dès son début ne leur permet point de rien faire ni de rien penser qui pût tourner à l'oubli de leurs devoirs envers Votre Grâce.
Mais c'était un galant homme de lettres, un élégant rhéteur, prêt à goûter doucement les plaisirs de l'esprit et à converser avec grâce parmi les honnêtes gens.
Grâces au Ciel, nous sommes arrivés à une époque, nous vivons dans un temps où la philanthropie fait partie de l'économie politique elle-même.