Quelle préposition utiliser avec méprendre
Sans doute ils peuvent m'exposer à me méprendre sur le compte de quelques individus;
Le cri fut répété, et quoiqu'il ressemblât, à s'y méprendre à celui de l'oiseau que nous connaissions tous très-bien (l'aigle à tête blanche), nous n'en restâmes pas moins frappés d'appréhensions sérieuses.
«mais comme vous, monsieur Bon-Bon, il s'est mépris au sujet de l'âme.
Si je me suis mépris de rue, ou de maison, ou de chambre, il me semble du moins que la pauvre dame que voici n'a pas moins besoin de mon saint ministère.
Malgré son adoration pour Racine et ses superbes mépris pour Corneille, Voltaire, qui se croit novateur, est beaucoup plus rapproché de Corneille que de Racine.
, Jock, je n'étais pas tant à blâmer que cela, après tout, d'autant plus qu'elle m'a promis de vous faire voir par sa conduite envers vous, que vous vous étiez mépris en croyant avoir un droit quelconque sur elle.
Espinosa, se méprenant sans doute sur la signification de ce sourire, continuait de son air toujours paisible: Voulez-vous ouvrir la porte sur laquelle vous vous appuyez, monsieur de Pardaillan?
Il ne pouvait y avoir que haine et mépris dans le coeur de Loïse pour le vieux Pardaillan... et pour son fils!
Il n'y a pas de caste, que je méprise comme celle des médecins, moi qui suis d'une famille de médecins, de père en fils, y compris les cousins, car je suis le seul Flaubert qui ne soit pas médecin... mais quand je parle de mon mépris pour la caste, j'excepte mon papa...
Ce que je méprise par-dessus tout, c'est une foule qui se livre au lynchage.
Il n'y avait pas à se méprendre avec ces yeux gris et rieur.
Il y a dans la voix, dans le geste, dans l'action de l'homme profondément épris un caractère et un attrait que tout l'art du monde ne saurait imiter; et la plus simple jeune fille semble douée d'une rectitude de jugement, d'une délicatesse de tact qui ne lui permettent pas de se méprendre entre l'expression d'un amour vrai et la feinte d'une grande passion.
M. Wolowski a, le premier, restitué son vrai sens à l'édit de 1581, édit très-libéral relativement à ceux qui l'avaient précédé de même qu'à ceux qui suivirent, et sur la portée duquel on s'était mépris depuis un siècle, à la suite de Forbonnais.