Quelle préposition utiliser avec rythme
Ton front si clair et pur et blanc de certitude, Tes douces mains d'enfant en paix sur tes genoux, Tes seins se soulevant au rythme de ton pouls Qui bat comme ton coeur immense et ingénu, Oh! comme tout, hormis cela et ta prière, Oh! comme tout est pauvre et vain, hors la lumière Qui me regarde et qui m'accueille en tes yeux nus.
Il faut avoir son rythme à soi et faire constamment en sorte qu'il ne coïncide pas avec celui d'aucun autre.
Ils s'entr'aidaient avec une sollicitude touchante et convenaient d'un bref signal pour l'exécution de leurs tours d'ensemble, j'allais dire de leur duo, car il y avait tant de rythme dans les souples mouvements de leurs deux corps que, véritablement, cela chantait.
La phrase non plus réduite à une élégante armature dans laquelle s'enchâssent n'importe quels mots bas, ordonne des vocables sonores, colorés et beaux, les rythme en retentissantes cadences, développe de nobles visions, splendides, grandioses ou d'une haute horreur.
Ces dix-neuf vers, dont dix alexandrins, sept octosyllabes et deux décasyllabes, combinés de telle sorte que tantôt deux alexandrins tombent sur un octosyllabe, tantôt un alexandrin sur deux octosyllabes, tantôt trois alexandrins sur un octosyllabe, tantôt un alexandrin sur un décasyllabe, ne sont pas un rythme pour une oreille française;
en outre, en rythmant les mouvements du balancier sur ceux du métronome, je facilite les mouvements inconscients du sujet, car je suppose que ces mouvements subconscients doivent être aidés par le rythme sur lequel le sujet fixe son attention.
il y revient sans cesse, il insiste avec une éloquence savante sur l'appropriation du moyen à l'effet, sur l'usage de la rime, sur le perfectionnement du refrain, sur l'adaptation du rythme au sentiment.
J'avais repris le Pays des Rêves à la page ouverte et, ayant relu les derniers vers, comme un rameur qui, avant de reprendre sa route, s'entraîne au rythme par une série de mouvements jumeaux, je tournai celle-ci.
Tout le long de la tragédie l'idée est portée par le rythme comme selon une danse où les coups de sabots font des pauses douloureuses.
l'écriture change souvent, et dans tout le volume il y a tant d'emprunts à l'antiquité et à la fable, une si grande abondance de figures de rhétorique, une telle variété de rythmes depuis l'hexamètre jusqu'à l'ode tricolos tétrastrophos, le tout mêlé à une si profonde horreur de l'hérésie, qu'on peut attribuer l'oeuvre au corps enseignant de Bourges.
D'autres phrases et d'autres mots sont murmurés, Mais le vieux rythme avec ses cris est demeuré, Après combien de jours, le même;
quel poète a ordonné le rythme selon lequel chaque flot, comme un beau vers, vient faire tinter ici sa dernière syllabe?