972 verbes à utiliser avant armée

«N'est-il pas vrai, général, qu'il est beau de commander une armée républicaine?

La garnison mit bas les armes, excepté huit cents Autrichiens, qui rejoignirent la grande armée.

Biron ne pouvait se faire obéir, et il n'osait mettre en marche son armée, de peur qu'elle ne se débandât au premier mouvement, ou pillât tout sur son passage.

Il se vit alors obligé de quitter définitivement son armée, et de repasser aux Impériaux.

En attendant l'organisation du nouveau système, il voyait son armée exposée à périr de misère, si ses marchés n'étaient pas maintenus et exécutés.

Il forma son armée en demi-cercle, parallèlement aux positions de l'ennemi.

La véritable manoeuvre à exécuter sur cette partie des frontières, consistait toujours à réunir les deux armées du Rhin et de la Moselle, et à opérer en masse sur un seul versant des Vosges.

maintenant c'est tout une masse d'hommes qui se levait elle-même, et se disait: Je composerai les armées;

La comtesse Marcian Gregoryi a jeté un regard favorable sur Georges Cadoudal... C'est grâce à elle qu'il a évité aujourd'hui le sort de ses complices... un sort plus cruel, René, car on a quelques mesures à garder vis-à-vis de deux généraux illustres, ayant conduit si souvent les armées républicaines à la victoire;

En cet état de choses, Dumouriez, en s'avançant vers le Rhin, aurait découvert son flanc droit et ses derrières, et n'aurait pu d'ailleurs, dans la situation se trouvait son armée, envahir le pays immense qui s'étend de la Meuse jusqu'au Rhin et jusqu'aux frontières de la Hollande, pays difficile, sans moyens de transports, coupé de bois, de montagnes, et occupé par un ennemi encore respectable.

Les nobles de l'Alsace avaient suivi l'armée de Wurmser en foule, et se répandaient depuis Wissembourg jusqu'aux environs de Strasbourg.

Elle arrêta que, d'après l'approbation solennelle donnée par la convention à la conduite du départemens de l'Hérault, il serait levé dans l'enceinte de Paris une armée de douze mille hommes, pour marcher contre la Vendée.

et que si, comme on l'écrivait de Bretagne, les dispositions des royalistes n'étaient pas changées, et si l'expédition réussissait, il tâcherait de la rendre décisive, en y envoyant une armée.

Les chefs vendéens s'étaient repliés, avaient sonné le tocsin, rassemblé une armée considérable, et se disposaient à surprendre Westermann du côté il s'y attendait le moins.

C'est du reste avec les mêmes armes qu'il avait cherché auparavant à détruire la petite armée de La Fayette.

Dumouriez, renonçant pour le moment à se servir de Valence, rapprocha de lui la division du général d'Harville, et portant ses troupes entre Quarouble et Quiévrain, se hâta de joindre l'armée ennemie.

Cette armée venait de s'affaiblir, comme on l'a vu, de deux détachemens, envoyés, l'un pour renforcer l'armée d'Italie, et l'autre pour réduire les Marseillais.

Il est juste d'ajouter que MM. les militaires anglais se vantent volontiers d'avoir sauvé à Inkermann l'armée française, qui vint les retirer, roués de coups, du fond d'un fossé, et qu'il est notoire à Turin que Sébastopol fut pris par l'infanterie piémontaise toute seule.

Il passa l'armée en revue, assista au départ de l'escadre de M. Destouches et repartit le 13 pour son quartier général.

Elle prétendait que c'était au peuple parisien à sauver la France, et elle se hâta de prouver son zèle, et de déployer son autorité en organisant une armée.

On convint de porter les armées à cinq cent deux mille hommes, et on trouvera que c'était peu, si on songe à l'idée qu'on s'était faite de la puissance de la France, et comparativement à la force à laquelle on les éleva plus tard.

On se servait des réquisitions pour nourrir les armées, pour fournir les grandes manufactures d'armes et les arsenaux de ce qui leur était nécessaire, pour approvisionner les grandes communes, et quelquefois pour procurer aux fabricans et aux manufacturiers les matières dont ils avaient besoin.

on vient lui annoncer que les ennemis attaquent son armée.

C'est par mon ordre qu'on a bâti cette foule de retraites saintes, pleines de moines portant des cilices sous leurs peaux de chèvres, et nombreux à pouvoir faire une armée!

Cependant, pressé par les commissaires de la convention, il ramène notre armée au camp de Famars sous Valenciennes, et le 1er mai il attaque sur plusieurs colonnes les Autrichiens retranchés dans les bois de Vicogne et de Saint-Amand.

972 verbes à utiliser avant  armée