222 verbes à utiliser avant compatriote
Je voyais mes malheureux compatriotes mordre leurs lèvres et mâcher leurs moustaches.
J'ai été réellement bouleversée de rencontrer un compatriote d'une manière aussi inattendue.
Voyons, varions les nationalités pour nous donner plus de chances de trouver des compatriotes:
» La Révolution de 1830, qu'elle accueillit avec enthousiasme, vint encore accroître son désir d'être à Paris, parmi la fermentation des idées nouvelles, d'y retrouver ses compatriotes, Duvernet, Fleury et Jules Sandeau.
Cet étranger était un Barricini, qui d'ailleurs ne connaissait pas son compatriote.
Le système se développe sans cesse et trouve parfois, hélas, de tristes complicités parmi ceux qui se disaient hier nos compatriotes.
Les Français, ajoute-t-il, reçurent nos compatriotes avec des visages souriants, battant des mains et criant:
M. Pitt reconnaît ses compatriotes.
Le maire parla le premier, et dans un discours familier et concis, il engagea ses compatriotes à resserrer de plus en plus les liens qui les unissaient déjà et à célébrer, chaque année, avec un éclat grandissant, la fête nationale.
enfin la quatrième avec les sauvages abénaquis de la mission de Lorette, qui devaient aller rejoindre leurs compatriotes des rives de l'Atlantique.
Froissart, trompé par le nom, parle du centurion des archers génois, qui, prêt à débarquer en Afrique, invita les Français à prendre soin de la conduite des opérations à terre, genre de guerre qu'ils entendaient mieux que ses compatriotes.
J'ai envoyé chez eux cinquante officiers que j'avais faits prisonniers, pour qu'ils allassent éclairer leurs compatriotes, et leur faire sentir les dangers qu'une extravagance pareille à celle-ci leur ferait courir.
Ce désastre causa une telle consternation en Norwége qu'encore plusieurs années après on n'y armait point un chevalier sans lui faire jurer de venger ses compatriotes tués en Écosse.
Dieu avait permis ce grand miracle, qu'il pût revoir ses compatriotes et terminer désormais, dans une apothéose de gloire, une vie de travail et de privations.
J'ai voulu manger le dedans et suis resté tellement dégoûté que j'ai des haut-le-coeur, à présent, rien qu'en apercevant une de ses compatriotes.
»Nous n'avons pu refuser une offre aussi gracieuse, bien que nous eussions préféré nous endormir dans les bras de Morphée et reposer nos membres endoloris par les secousses du véhicule qu'avait mis à notre disposition le gobernadorcillo du pueblo de R. »Nous sommes donc descendus pour aller chercher nos compatriotes qui dînaient dans la maison que possède ici le pieux et opulent D. Santiago de los Santos.
Le métis Faringhea demeura auprès du jeune prince, ne voulant pas, disait-il, abandonner son compatriote.
Mais lorsque le François se vit seul, & qu'il n'entendit plus de bruit, il laissa ses compatriotes étendus, & se traîna de son mieux jusqu'au bois, où dans l'effort qu'il fit pour se lever, il s'apperçut que le coup n'avoit percé que les chairs.
si vous n'étiez pas mon compatriote, vous vous repentiriez de ces paroles hardies.
pour remercier le pape Jules III (cardinal del Monte), son compatriote, de la distinction qu'il lui avait accordée, en le nommant chevalier de Latran.
Hé! dit-elle, je ne suis pas en voix, et d'ailleurs on n'a pas ses avantages pour jouer dans une petite chambre, avec deux jeunes garçons pour tout auditoire, mais il faut que vous me voyiez en reine des Péruviens, exhortant ses compatriotes à se soulever contre les Espagnols, leurs oppresseurs.
«Je commence à croire que nous partirons aujourd'hui, dis-je au lieutenant H... Nous n'attendons plus que nos voyageurs, me répondit mon compatriote.
Dans les passages que l'on applaudit, je remarque, chez les spectateurs français, cette générosité qui bien des fois en Angleterre m'a fait aimer mes compatriotes.
Un jour, qu'il avait de nouveau frappé cruellement le pauvre garçon au visage, Victor était accouru et avait défendu son compatriote;
Sa fortune était immense: il passait pour le marchand le plus riche qu'il y eut alors en Italie[105]. Sigismond Tizio, son compatriote, dans une histoire manuscrite de Sienne, citée par Fea[106], dit qu'il possédait un revenu annuel de soixante-dix mille ducats d'or, somme énorme pour cette époque, et qui constituerait encore aujourd'hui une fortune colossale.