440 verbes à utiliser avant patrie
Il fallait sauver la patrie.
Il se fit apporter là une des petites tables du café, une canette, et il tira sa pipe qui jouissait parmi les démocrates d'une considération presque égale à la sienne, comme si elle avait servi la patrie en servant à Cornudet.
entrez dans les ateliers où des hommes actifs, simples et vertueux comme vous, comme vous prêts à défendre la patrie, vous attendent depuis long-temps pour serrer les liens de la fraternité.
Devenus sujets de l'Angleterre, ces Français, qui avaient perdu tout espoir de revoir leur patrie, et qui n'en concevaient que plus d'horreur pour le gouvernement monarchique qui les avait exilés, combattirent d'abord dans les rangs des milices américaines, pour le triomphe de la politique anglaise.
] Il fut saisi d'un sentiment tout nouveau à la vue de ce jeune homme de vingt ans qui n'avait pas hésité à quitter sa patrie et sa jeune femme pour venir soutenir, dans un moment où elle semblait désespérée, une cause qu'il croyait grande et juste.
et les trois assemblées nationales ont pris la peine de m'apprendre que les meilleurs patriotes haïssent encore plus leurs ennemis qu'ils n'aiment leur patrie.
Puisqu'on m'accuse, reprend Robespierre, de trahir la patrie, n'ai-je pas le droit d'opposer ma vie toute entière?»
quittèrent spontanément les garnisons où le roi les avait confinés, et, abandonnant leur patrie, passèrent les cataractes pour aller se fixer en Ethiopie, où ils établirent un État particulier.
TIMON.Cependant j'aime ma patrie, et je ne suis point homme à me réjouir du malheur public, comme on en fait courir, le bruit.
Quand les peuples combattent pour la liberté, le monde devient la patrie de ceux qui servent cette cause.
Je ne dis plus rien, jusqu'à ce que je voie notre patrie en feu, et alors je retrouverai la parole.
, sur le sol américain, avait adouci l'amertume de leur exil en leur envoyant des enfantsces doux anges du foyerdont la vue seule suffit à faire oublier la patrie absente!
Je me suis mis à la tête de mon armée pour délivrer votre patrie des plus injustes agresseurs.
Allez donc au théâtre, Consuelo, si vous voulez, et subissez-en l'apparente flétrissure avec la résignation d'une âme pieuse, destinée à souffrir, à chercher vainement sa patrie en ce monde d'aujourd'hui, mais forcée de fuir les ténèbres qui ne sont pas l'élément de sa vie, et hors desquelles le souffle de l'Esprit Saint la rejette impérieusement.
nous verrons le docteur Germain Patou porter à son chapeau, selon sa propre volonté, le nom de Samuel Hahnemann comme une cocarde et produire de ces miracles qui firent lapider une fois, à Leipzig, le fondateur de l'école homéopathique, mais qui fondirent plus tard le bronze dont est faite sa statue colossale, la statue de ce même Samuel Hahnemann, érigée au beau milieu de la maîtresse place, en cette même cité de Leipzig, sa patrie.
PROPOSITION DE DÉCLARER LA PATRIE EN DANGER.
Quels nouveaux débarqués de France en Angleterre t'ont donné de si bons conseils et des moyens si sûrs de perdre ma patrie?
Ils parlaient toujours espagnol ensemble, et l'expression délicate et tendre de la passion d'Albert était plus douce à l'oreille de Consuelo dans cette langue, qui lui rappelait sa patrie, son enfance et sa mère.
A présent, il est sauvé, il voyage, il va retrouver sa patrie, sa mère, ses amis, ses plaisirs.
Le lendemain matin, en effet, il se présente à la convention, lui dit qu'un grand danger menace la patrie, mais que c'est le dernier, et qu'en le bravant avec courage elle l'aura bientôt surmonté.
Je tiens là comme un Lapon à la croûte de glace qu'il appelle sa patrie, et je ne saurais me figurer, pour le moment, un autre Éden.
Alors, cette mère, qui a sacrifié la patrie à ses fils, se sacrifie elle-même pour la patrie, meurt en ouvrant une des portes de Stockholm à Gustave Wasa;
Pour trouver sa patrie, il fallait passer la Seine, et remonter le boulevard de l'Hôpital.
elle l'excite à se porter avec plus d'ardeur à la défense de notre territoire et à venger la patrie.
Ces honneurs ne l'empêchaient pas de regretter Venise, sa patrie d'adoption: il écrivait de Vérone, en juillet 1543, à son ami Titien? «Votre ami et le mien, le capitaine Adriano Perugino, aussitôt son arrivée ici, après m'avoir vu avec le bon duc d'Urbin et m'avoir salué de votre part, s'est informé, dans le désir de vous tranquilliser, des motifs qui avaient pu, à la persuasion du duc, me décider à quitter le paradis terrestre.
