519 verbes à utiliser avant politique

! messieurs, dit M. de Solignac, ne faisons pas de politique, je vous en prie;

Ici également ce sont les conditions économiques qui dirigent leur politique.

Dès lors, et malgré toutes les belles paroles, l'Italie et l'Autriche s'entendront toujours fort bien aussi longtemps qu'il ne s'agira que d'éloigner un tiers de Vallona et de l'Albanie, de pratiquer la politique de l'abstention, de s'assurer contre une non-intervention réciproque;

L'aigreur s'en était suivie, et Saint-Just, Robespierre, Barrère, Billaud, qui d'abord n'avaient repoussé les modérés que par politique, et pour être plus forts contre les ultra-révolutionnaires, commençaient à les poursuivre par humeur personnelle et par haine.

S'il arrivait que nous adoptassions la politique extérieure que nous avions en 1793, nous aurions d'autant plus tort, que nous nous sommes bien trouvés de la politique contraire, et que nous n'avons plus ces grandes masses, ces moyens de recrutement, et ce premier élan d'enthousiasme qui n'a qu'un temps.

mais au fond, M. Decazes était pleinement dans son droit, et il ne pouvait guère se refuser à mettre en pratique la politique qu'il avait soutenue dans le Conseil, puisque celle qu'il avait combattue se reconnaissait impuissante.

Mais elle sait aussi qu'avec d'autres hommes ce jeu-là est inutile, et, changeant sa politique, elle se donne juste assez pour accrocher celui dont elle veut être aimée.

Dans les Chambres, en défendant avec plus de fermeté que d'habileté de langage la politique du cabinet, il se compromettait quelquefois gravement;

Le roi Louis XVIII, qui n'avait confiance ni dans la capacité de M. de Montmorency, ni dans le jugement de M. de Chateaubriand, voulait que M. de Villèle allât lui-même à Vérone pour y soutenir sa politique prudente et expectante.

A quoi servirait la politique, si l'on ne pouvait gagner par des voies obliques le but qui ne peut s'atteindre par la ligne droite?

je veux me marier, quitter la France, abandonner la politique.

Nous n'aurions fait, en agissant ainsi, que poursuivre la politique que nous avions annoncée et pratiquée depuis l'origine de la question suisse, et le roi Louis-Philippe était, comme le cabinet, résolu à y persister.

t. III (Paris, 1904), p. 397, a très exactement caractérisé la politique d'Herbert II.

Moi, j'avoue que je déteste ce qu'on appelle aujourd'hui la politique, c'est-a-dire cet art maladroit, peu sincère et toujours déjoué dans ses calculs par la fatalité ou la Providence, de substituer à la logique et à la vérité des prévisions, des ressources, des transactions, la raison d'État des monarchies, en un mot.

il était porté à croire que, par lui-même, il suffirait toujours pour faire prévaloir la bonne politique, et quand il s'agissait de la formation ou de la chute des cabinets, il cédait quelquefois à ses goûts personnels, à ses préventions ou à ses convenances du moment, bien plus qu'il ne l'eût fait s'il eût eu constamment en vue la nécessité de tenir groupées et agissant ensemble autour de lui toutes les forces vitales de son gouvernement.

Nul, mieux que le directeur du Temps, n'a connu la politique, vu plus droit et plus clair, donné d'avis plus prophétiques, plus judicieux.

voilà que nous attaquons la politique.

Il définit et conduit la politique québécoise en matière de linguistique et de terminologie.

La philosophie s'était vantée qu'elle réglerait la politique, et que les institutions, les lois, les pouvoirs publics ne seraient que les créations et les serviteurs de la raison savante.

Je sais bien que la politique française n'est pas la politique russe.

Mon épouse, répondit le roi, n'entend pas la politique, et je l'entends bien mieux qu'elle.

On peut se demander ce qui serait arrivé si Tibère avait continué la politique d'Auguste et si Rome avait subjugué la Germanie après la Gaule.

il s'y trouvait quelques politiques, et on a causé de l'état présent de la France.

Les hommes qui ont inauguré cette politique, par impuissance et par bêtise, ont été poussés par la ruse de Satan sans le savoir.

Le directoire, approuvant la politique de Bonaparte en Italie, qui consistait à attendre la chute très-prochaine des gouvernemens, et à ne point la provoquer, pour n'avoir ni la peine ni la responsabilité des révolutions, le directoire ne voulait ni attaquer ni garantir aucun prince.

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