82 verbes à utiliser avant théologie

en France, à Noyon (Picardie), en 1509, le nouveau réformateur, après avoir étudié la théologie, puis le droit, publia à vingt-sept ans, à Bâle, son Institutio christianae religionis, qu'il dédia au roi de France.

Dans ces écoles, qui différaient de réputation et quelquefois de doctrine, comme les évêques eux-mêmes, on enseignait toujours la théologie et souvent les sciences profanes, y compris la philosophie.

mais cela prouve aussi qu'on ne s'improvise pas historien, comme d'autres pages de la Cathédrale prouvent qu'on n'apprend pas facilement la théologie, mystique ou doctrinale.

Il paraît avoir brillé dans la dialectique, donné de quelques-unes des questions qu'elle pose des solutions nouvelles, et appliqué le premier, dans l'école de Notre-Dame, les formes de la logique à l'enseignement des choses saintes: ce qui a fait dire qu'il avait, le premier, professé publiquement la théologie à Paris, et d'une manière contentieuse, en ce sens qu'il aurait introduit la théologie scolastique.

On l'a déjà vu, il y a deux manières de traiter la théologie, c'est-à-dire d'enseigner la religion, celle du rationalisme et celle que les Allemands appellent du super-naturalisme.

puis, lorsqu'il eut approfondi les deux grands codes de nos croyances, la Bible et l'Évangile, il lut les écrits que les Pères et les docteurs nous ont laissés sur ces livres divins, et il posséda bientôt dans toute sa plénitude cette formidable science qu'on appelait alors théologie.

à l'abbaye du Bec, , tout en approfondissant la théologie, il fit connaissance d'un grand seigneur retiré de la cour qui lui donna peut-être la pensée de son premier roman;

Celui-ci n'était pas sans instruction, savait un peu de théologie, un peu d'histoire, surtout cette histoire de la grandeur passée de Rome, qui avait enflammé son patriotisme du rêve fou de la prochaine domination universelle, réservée à la Rome renaissante, capitale de l'Italie.

Voici comment s'en explique la Théologie chrétienne:

Le même esprit qui, dans la science humaine, avait produit la philosophie scolastique, a, passant dans la science sacrée, enfanté la théologie scolastique;

Moïse emporta l'orthodoxie d'Égypte comme Abraham de la Chaldée, et dans les traditions secrètes de la kabbale nous trouvons une théologie entière, parfaite, unique, semblable à ce que la nôtre a de plus grandiose et de mieux expliqué par les pères et les docteurs, le tout avec un ensemble et des lumières qu'il n'est pas donné encore au monde de comprendre.

Il fut donc décidé qu'après mes deux ans de philosophie, je passerais au séminaire Saint-Sulpice pour faire ma théologie.

Nous ne parlons pas théologie, nous parlons politique.

Elle remplace la théologie, et, si l'on cherche le docteur universel, le saint Thomas d'Aquin du XIXe siècle, n'est-ce pas à Sainte-Beuve qu'il faut songer? C'était un saint homme de critique, je vénère sa mémoire.

on a dit que le premier il avait rendu la théologie contentieuse.

Il y perdit sa théologie, mais il y devint homme d'esprit.

Comte plaçait la théologie primitive au-dessus de la théologie plus avancée, ou de la métaphysique au sens strict du mot.

Nous ne voyons pas poindre encore la théologie scolastique;

Mais les premiers, secondés du penchant du peuple et de ses habitudes déja contractées, appuyés de l'autorité des Perses, leurs libérateurs et leurs maîtres, terminèrent par prendre l'ascendant sur les seconds, et les enfants de Moïse consacrèrent la théologie de Zoroastre.

Les augustes qualités que chacun lui reconnaissait, pourquoi les aurait-il déniées? Certes, avec ces quelques bribes de renseignements, il serait facile à un homme du métier de construire toute une théologie, et de les développer en doctrines bien coordonnées.

il me bat à plate couture, et il converse théologie et charité avec madame, tout en citant des vers latins à monsieur Septime quand il nous fait l'honneur d'accompagner son excellent maître.

C'est Jean l'évangéliste ou son école qui plus tard cherchèrent à prouver que Jésus est le Verbe, et qui créèrent dans ce sens toute une nouvelle théologie, fort différente de celle du royaume de Dieu.

Voilà pourquoi le réformateur puritain est d'ordinaire essentiellement «biblique,» partant du texte immuable pour critiquer la théologie courante, qui a marché de génération en génération.

«dans ce coin de Port-Royal, on cultivait, de préférence, la théologie, la physique elle-même et aussi la métaphysique, surtout la morale prise dans sa signification la plus étendue.

Aussi la théologie moderne éclairée, construit-elle, en partie, son Christianisme idéal en s'appuyant plus sur les lettres de Paul que sur les Evangiles, ce qui a fait désigner cette théologie du nom de Paulinisme.

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