83 verbes à utiliser avant veau

Le papa de Pierre, riant:Ils ont peut-être tué un veau ou un mouton qu'ils ont pris pour un lapin.

PRUDENCE.Une chose bien simple, Madame, il est arrivé que ce maudit chien a mangé tout mon veau, un superbe morceau que j'avais choisi entre mille.

Si vous cherchez bien, vous ferez partir un autre veau!

Il me sembla que je voyais le veau encore sur ses pieds; mais à ce moment le clairon retentit, et des cris partirent de tous les côtés de la prairie.

Alors, pour son petit Noël, son papa lui avait donné un veau.

En aucun des bruits ne se reconnaissait le bruit d'une créature, si ce n'est que de la prairie lointaine arrivait le mugissement d'une vache qui avait perdu son veau, et qu'une chouette blanche voletait près des rebords du toit, jetant son cri sauvage, pareil à la raillerie d'un éclat de rire maintenant silencieux.

l'on tue le veau gras pour fêter le retour d'un enfant économe.

apparemment que quelque taureau étranger de cette espèce fit sa cour à la vache de votre père, et que de cette belle union il sortit un jeune veau qui vous ressemblait beaucoup, car vous avez précisément son mugissement.

pour être boucher, il faut courir le pays, aller au loin chercher des veaux, des moutons, des boeufs;

ce sont des garçons bouchers qui portent des veaux en croupe.

Héloïse a fait, dès ce matin, un feu immense, un feu homérique, à faire rôtir un veau entier, et me voilà, dans ton fauteuil, toute à toi, libre de t'envoyer mes pensées et mon amour.

Ceux-ci, apercevant le veau qui sortait du bois, dirigèrent une attaque simultanée contre lui.

Croyez-moi, ne sacrifiez pas un autre veau que celui-là.

De temps en temps seulement, quand il s'agissait de vendre une récolte ou d'acheter un veau, le jeune homme prenait l'avis du vieux, et, formant un porte-voix de ses deux mains, il lui criait ses raisons dans la tête;

Je liai le veau, et prenant le couteau funeste...» Scheherazade s'arrêta en cet endroit, parce qu'elle aperçut le jour: «Ma soeur, dit alors Dinarzade, je suis enchantée de ce conte, qui soutient si agréablement mon attention.

Dans son Uomo delinquente, p. 201, le même auteur raconte qu'un célèbre poète était toujours très excité sexuellement toutes les fois qu'il voyait dépecer un veau qu'on venait de tuer ou qu'il apercevait de la viande saignante.

Quand il avait volé un veau, un bélier, quand je le trouvais nageant dans l'abondance, qu'il était en train de dévorer une chèvre fraîchement tuée, ou qu'un mouton gigottait sous ses griffes, il se mettait à grogner à mon approche, il prenait une mine morose et me chassait en grondant;

» Allez, dis-je au fermier, ramenez ce veau chez vous.

La mère, baisant le pâle visage de son enfant, se met à gémir, comme une tendre vache à qui l'on vient d'arracher son jeune veau.

Une vache, comme on dit, n'y reconnaîtrait pas son veau.

Elle adorait le veau et je n'ai jamais pu le souffrir... Probablement, elle est morte d'indigestion.

et si vous avez un veau bien gras, amenez-le moi à sa place.

tenez, par exemple, savez-vous: J'aime pas l'veau.

Oui, en 1854, une lettre du docteur Rae apprit qu'en 1850 les Esquimaux avaient rencontré sur cette terre du roi Guillaume un détachement de quarante hommes, chassant le veau marin, voyageant sur la glace, traînant un bateau, maigris, hâves, exténués de fatigues et de douleurs.

Je lui demandai pourquoi elle faisait en même temps deux choses si contraires: «Mon père, me répondit-elle, ce veau que vous ramenez est le fils de notre maître.

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