6340 phrases avec le mot turcs

c'est ainsi que la manière des pesmas serbes n'a point subi d'altérations sensibles pendant plusieurs siècles, et que Marko Kralievitch, pour le Serbe étranger à l'Occident, est toujours le même héros pourfendeur de Turcs, fort et buveur à la façon de Gargantua, féroce comme un Viking Scandinave, et qui, disparu du monde, doit, comme Arthur, s'y remontrer un jour, pour chasser le Turc, l'ennemi national.

Devant l'histoire, c'est un traître qui a attiré la ruine sur son pays en appelant les Turcs pour satisfaire son ambition personnelle.

cette action s'est effacée de la mémoire du peuple, qui, une fois asservi, a mis en lui sa prédilection, parce qu'il faisait quelquefois payer cher à l'ennemi commun, aux Turcs, les services qu'il leur rendait comme vassal, et paraissait ainsi, autant que les circonstances le permettaient, le vengeur de sa nation.

Ce n'est pas une pure supposition: dans les pesmas évidemment antérieures à l'arrivée des Osmanlis ou à leur contact prolongé avec les populations serbes, on trouve un certain nombre de mots turcs, traces de ce rajeunissement successif.

L'avant-dernier des Nemanitch, Étienne Douchan, après avoir étendu considérablement sa domination, surtout aux dépens des empereurs grecs, mourut en 1356, comme il était en marche sur Constantinople, au secours de laquelle l'empereur avait appelé les Turcs.

Les Turcs avaient défait une première fois les Serbes en 1365, au combat de la Maritza;

suivant les historiens turcs, qui représentent Murad comme un martyr de la foi musulmane, ce serait quand celui-ci, la lutte terminée, parcourait le champ de bataille, que Miloch, blessé, se serait relevé et aurait frappé le sultan, pendant qu'il embrassait en suppliant son étrier[A]. [

Si tu choisis l'empire terrestre, fais seller les chevaux, et resserrer les sangles; guerriers! ceignez vos sabres, puis ruez-vous sur les Turcs, et leur armée tout entière périra;

avait-il ordonné l'armée, que les Turcs se ruèrent sur Koçovo...

que les Turcs ont beaucoup de troupes?

Est-il possible pour nous de vaincre les Turcs?

Ivan Koçantchitch lui répond: «O mon frère, Miloch Obilitch, oui, j'ai reconnu l'armée des Turcs, immenses sont leurs troupes;

jetés dans le sel, nous ne salerions point la nourriture des Turcs.

est la tente du puissant Murad? car j'ai fait au prince le serment de tuer Murad, le tzar des Turcs, et de lui poser le pied sur la gorge.

» «Es-tu donc fou, mon pobratime? peut être la tente du puissant Murad, qu'au milieu du camp des Turcs?

Demain tu dois me trahir à Koçovo, et passer au tzar des Turcs, Murad;

Au nom de Dieu, tzarine Militza, nous venons ce matin des plaines de Koçovo, nous avons vu les deux puissantes armées; les deux armées hier en sont venues aux prises, et les deux tzars ont succombé; des Turcs il n'est rien resté, mais des Serbes il est resté quelque chose, tout navré et couvert de sang.

tombés aussi sont huit des Yougovitch, le frère ne voulant point abandonner le frère, tant qu'un seul survivrait. Restait encore Bochko Yougovitch, faisant flotter sa bannière sur Koçovo, dispersant les Turcs par troupes, comme un faucon de légères tourterelles. le sang baignait jusqu'aux genoux, c'est qu'a péri Strahinia Banovitch.

La formule employée ordinairementet que l'on place même dans la bouche des Turcs et des Vilas,est celle-ci: Bogom braté (ou sestra) i svelim Iovanom, «mon frère (ou ma soeur) en Dieu et en saint Jean.»

Il était le fils aîné du roi Voukachine, vassal des tzars serbes Étienne Douchan et Ouroch, et qui après avoir tué ce dernier de sa propre main, périt lui-même en 1371, dans une bataille contre les Turcs.

, été revêtu pendant quelques années de la dignité royale, Marko implora le secours du sultan Murad Ier, devint son vassal, prit part en cette qualité à toutes les expéditions des Turcs, et périt en 1392 dans une bataille qu'ils livrèrent aux Valaques, à Rovina.

Ainsi «les uns rapportent, dit le savant éditeur, qu'il fut tué d'une flèche d'or, à la bouche, par un certain Mirtcheta, voïvode valaque, dans une bataille livrée aux Valaques par les Turcs, près du village de Rovina, d'autres disent que, dans cette même affaire, son cheval, Charatz, s'étant enfoncé dans un marais au bord du Danube, tous deux y périrent.

Et, le jour les Turcs abandonneront l'Europe,fait qui se produira fatalement tôt on tard,qui asseoir à Constantinople, il conviendrait le mieux d'établir alors la capitale de la Confédération, c'est-à-dire le siège de la Diète fédérale, comme autrefois Francfort pour la Confédération germanique?

Les États italiens entretinrent toujours avec les princes chrétiens d'Orient des relations qui ne cessèrent pas, lorsque, le temps des croisades passé, les autres nations de l'Europe, absorbées par leurs bouleversements intérieurs, eurent renoncé à s'opposer aux envahissements des Turcs.

Les territoires turcs actuels, qui sont divisés, en Europe, depuis 1869, en un certain nombre de vilayets, seraient partagés en trois zones: la première formerait l'Albanie, avec chef-lieu à Scutari;

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