109 métaphores pour mai

Mai tout-d'un-cop, tau qu'un ridèu de tiatre Que s'escavarto, avau à l'avalido, Dóu ribeirés e lis aubre e li colo, Tout vai en s'aclatant, pèr desparèisse Davans un couloussau clapas de tourre Que lou soulèu couchant enfioco e pinto De resplendour reialo e purpurenco.

Mai sus l'orle, Talo qu'uno sibilo, adounc la vierge Enaurant soun bras nus, ensuperbido Pèr lou pantai ferouge que l'enchusclo, Diguè:La font de Tourno es un ouracle! La font de Tourno, aquéli que l'an visto M'engardaran de menti, s'avès doute.

S'ils ne jettent pas le masque, c'est que Mai n'est pas bien sûr de nous avoir dépistés, et que d'un autre côté le complice craint qu'on n'ait suivi Mme Milner. Le complice, si c'était véritablement lui, avait eu recours à un travestissement du genre de ceux adoptés par Mai et par Lecoq.

Et si véritablement Mai est le duc de Sairmeuse... j'aurai ma revanche.

Mai disparu, évanoui, évaporé!

Siés un bon drole, Siés gros, gaiard, siés (coume dis moun paire) Un ribeiròu de la proumièro lèvo... Mai n'i'a'n mai avança que tu, moun ome!

Mai est le mois on les sème.

Mai de la fiero an panca fa li crido?

Un autre mai des imprimeurs était un placard en vers, assez médiocrement payé sans doute à quelque poète famélique, et que les membres de la corporation affichaient dans leur boutique, auprès du rameau de verdure détaché du mai annuel et votif de la confrérie.

Mai acò 's un fin pèis, e veiren vèire S'enlabrena pèr éli, tèsto-pouncho Éu vai passa pèr iue o bèn pèr maio.

... Un homme considérable, tel que vous le supposez, a d'ordinaire une famille, des parents, des amis, des protégés, des relations très-étendues; et de tout ce monde, personne n'aurait élevé la voix depuis plus de trois semaines que Mai est sous mes verroux!...

Je cours en avant chez Mme Milner, pour que Mai ne la voie pas, je trouve un expédient pour la chasser de chez elle, et ils se rencontrent!

La mer était comme abandonnée.

et nous en avons vu souvent de pillés à la vue des mêmes ports dont ils venoient de faire voile: et maintenant, par la conquête d'une seule ville, je vois, d'un côté, nos mers libres, nos côtes affranchies, notre commerce rétabli, la racine de nos maux publics coupée;

La mer est en argent, mais pas riante, comme de l'argent dans la poche d'un pauvre diable.

Que la mer s'arrondit sous la course des voiles;

La mer fut un grand artiste.

A quelque distance de la côte, brisaient les lames, la mer était d'un azur sombre, et calme comme un miroir.

Pour lui faire plaisir, on finit par ouvrir un sabord, bien que se fût encore dangereux, la mer n'étant pas assez calmée.

la mer de Baffin n'est pas à six cents milles;

Je suis marin et corsaire, la mer est mon champ de bataille naturel;

La mer est un chemin, non une patrie.

Il paraît certain qu'à une époque reculée, cette mer était en communication avec d'autres vastes amas d'eau qui s'étendaient dans l'ouest jusqu'au lac Zarèh, et tenaient la place occupée par les déserts de Yezd et de Kerman.

Le mot d'ordre dont on se servait pour se reconnaître ne fut plus secret et devint commun aux deux partis, ce qui contribua à augmenter le carnage, en sorte que la mer fut en peu de temps couverte de cadavres, d'armes et de débris de navires.

La mer était une fort grande cuve de marbre.

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