Les origines du système féodal, 1890) ne sont pas les meilleurs de ce grand ouvrage.

L'origine de ce goût était son affection pour madame Lepaute, que dans des vers dignes d'un mathématicien il avait appelée un jour: La tangente des coeurs et le sinus des âmes.

Son origine remonte au-delà de toutes les notions historiques; et pendant une longue suite de siècles il a été l'amusement des Perses, des Indiens, des Chinois et de toutes les autres nations de l'Asie.

L'origine de ma brillante éducation fut donc l'anecdote des souliers militaires, fabriqués avec des almanachs.

Leur origine slave leur donnait des avantages que le Luthéranisme, d'origine germanique, ne possédait pas, et leur permettait d'espérer la conversion de toute la province où ils avaient trouvé une hospitalité si généreuse.

Voilà, nations tartares, l'origine de vos marmousets et de tout cet appareil d'animaux dont vos chamans bigarrent leurs robes magiques.

Il est permis aussi de conjecturer, d'après les disparates heurtées du fond et des accessoires, que l'origine de l'ouvrage dut être d'abord quelque cahier de traduction commandé par une volonté imposante, et qu'ensuite le conseil suprême jugea indispensable d'égayer et d'enjoliver à la mode castillane cette pauvre muse française dont on faisait tant de bruit à Paris et dans les Pays-Bas espagnols.

Voltaire assure qu'il ressemblait à son bisaïeul, et que son origine était la véritable cause de la bienveillance de Louis XIV à son égard.

«La foi dans la Trinité est le fondement de tous biens, on ce sens que l'origine de tous biens est dans la connaissance de la nature de Dieu.

les autres, drapées dans leur végétation de la tête aux pieds, sont les plus anciennes, même lorsque leur origine est coralloïde.

L'origine de ce Traité est le Cours de Mécanique rationnelle professé par M. P. APPELL à la Faculté des Sciences de l'Université de Paris et d'abord lithographié (voir nº =1=, p. 46).

ils m'ont fait remettre à cette malheureuse fille une lettre, l'origine, je le crains bien, de ses accointances avec Littimer qui était resté ici tout exprès pour elle.

l'institution humaine, tandis que l'origine des choses est la création de leurs natures.

Les éloges donnés au prince d'Orange et au prince de Vaudemont, ennemis de la France, dénotent l'origine de ce libelle.

L'origine n'en est sans doute pas tout à fait populaire;

et l'on tient si fortement à l'être, que, dans les concours, on n'admet pas un cheval dont l'origine ne soit bien constatée, tant on craint de réveiller la controverse, si un cheval dont l'origine serait douteuse était vainqueur.

L'origine de cette invasion étrangère fut dans l'émigration bysantine qui suivit la prise de Constantinople par les Turcs.

Ces pseudo-fragments de schiste expliqueront peut-être, dans certains cas, l'origine de fragments étrangers en apparence, empâtés dans des roches cristallines métamorphiques.

Ne l'imitons pas et disons franchement, après de longues et sincères applications d'esprit à cette question d'histoire et de philosophie, que l'origine du peuple chinois est une énigme.

» Lorsqu'il eut causé par ses paroles ambiguës cette légère méprise, dont l'origine était sans doute la récente escapade d'un garçon du village, qui venait de s'engager pour de bon, M. Willet se recula de l'oreille de son hôte;

la punition de ce dernier n'est que opus supererogationis (par-dessus le marché) ce qui confirme bien que son origine est dans «l'esprit de corps» des maris.

L'Origine du langage est le premier essai de cette preuve qu'ait faite Renan, qui l'a continuée avec acharnement dans ses Études d'histoire religieuse, dans son Histoire comparée des langues sémitiques, dans ses Essais de critique et de morale;

De plus, aux yeux d'une société particulariste, son origine dauphinoise faisait de lui un étranger que de tels gains devaient enrichir aux dépens du pays.

Les origines de la France contemporaine de Taine sont l'expression la plus vive de cette désaffection.

, Les origines chrétiennes, leçons d'histoire ecclésiastique, Paris, lithographie Blanc-Pascal, s. d.;G. Boissier, La fin du paganisme.