And therefore, to auoid that endlesse thrall, This morne I came away and left them all.

Eurymine, Eurymine, retorne, And with thy presence guild the beautious morne!

Not I but thou; for though thou iet'st in greene, As fresh as meadow in a morne of May, And scorn'st the shepheard for he goes in gray.

As little Lambes lift up their snowie sides When mounting Lark salutes the gray eyed morne Sil.

Nay Gemulo and Silvio, contented bee: This night let me intreate ye you will take Such cheare as I and these poore Dames can make: To morrow morne weele bring you on your way.

[Sidenote: to the morne,] Doth with his lofty and shrill-sounding Throate Awake the God of Day: and at his warning, Whether in Sea, or Fire, in Earth, or Ayre, Th'extrauagant, and erring Spirit, hyes To his Confine.

But looke, the Morne in Russet mantle clad, Walkes o're the dew of yon high Easterne Hill, [Sidenote: Eastward] Breake we our Watch vp, and by my aduice

And in the Morne and liquid dew of Youth, Contagious blastments are most imminent.

Welcome, bright Morne, that with thy golden rayes Reveal'st the variant colours of the world, Looke here and see if thou canst finde disper'st The glorious parts of faire Lucilia: Take[50] them and joyne them in the heavenly Spheares, And fix them there as an eternall light

The morne lookes red, red mornes doe threat a storme; That storme shall light on Pembrooke or my selfe.

To a new Court tune;" and beginning "Long ere the morne expects the returne.

We shall only mention as among the principal points to be occupied, with the mornes of Cape Rouge, Portudal, Joal, and Cahone, this last on the river Salum near the Gambia; they are large villages, the environs of which are covered with magnificent forests, and the soil of which is perhaps the most fertile of any in Africa.

With what consummate art the darkness of the Crucifixion is made to accentuate the horror of the event! L'ombre immense avait l'air d'une accusation; Le monde était couvert d'une nuit infamante; C'était l'accablement plus noir que la tourmente, La morne extinction de l'haleine et du bruit.

Et, comme il s'asseyait, il vit dans les cieux mornes L'oeil

Le porc, dont un frisson agitait les vertèbres, Râlait, triste, épuisé, morne; et le padischah De cet être difforme et sanglant s'approcha, Comme on s'arrête au bord d'un gouffre qui se creuse; Mourad pencha son front sur la bête lépreuse, Puis la poussa du pied dans l'ombre du chemin, Et, de ce même geste énorme et

est-ce un deuil morne et triste?

Morne en son noir pourpoint, la toison d'or au cou, On dirait du destin la froide sentinelle; Son immobilité commande; sa prunelle Luit comme un soupirail de caverne; son doigt Semble, ébauchant un geste obscur que nul ne voit, Donner un ordre à l'ombre et vaguement l'écrire.

Ces mornes visions troublent son coeur, pareil A la nuit.

La Nuit tire du fond des gouffres inconnus Son filet où luit Mars, où rayonne Vénus, Et, pendant que les heures sonnent, Ce filet grandit, monte, emplit le ciel des soirs, Et dans ses mailles d'ombre et dans ses réseaux noirs Les constellations frissonnent. L'aéroscaphe suit son chemin; il n'a peur Ni des pièges du soir, ni de l'âcre vapeur, Ni du ciel morne où rien ne bouge,

Le deuil n'est plus mêlé dans tout ce qu'on entend; Leur oreille n'est plus tendue à chaque instant Vers le gémissement indigné de la tombe; La moisson rit aux champs où râlait l'hécatombe; L'azur ne les voit plus pleurer les nouveau-nés, Dans tous les innocents pressentir des damnés, Et la pitié n'est plus leur unique attitude; Ils re regardent plus la morne servitude Tresser sa maille obscure

soeur De cet impénétrable et morne avertisseur.

Cette gueule, avec l'air d'un redoutable ennui, Morne, s'élargissait sur l'homme et la nature, Et cette épouvantable et muette ouverture Semblait le bâillement noir de l'éternité.

Votre nom, cher ami, je voudrais l'inscrire ici comme épitaphe, car vous êtes mon plus jeune et mon plus cher ami; et il se trouve en vous tout ce qui est gracieux et subtil dans ces mornes années qui s'égouttent dans le vase du vingtième siècle.

The mornes are decaying hills; they look as if they emerged first from the ocean and were the oldest parts of the earth, not merely weather-beaten, but profligately used up with a too tropical career, which deprives their age of all grandeur: they bewilder and depress.

Yet the people who live upon the mornes, those for instance which are drained by Trois-Rivières in the northwestern part of the island, are healthier and plumper, and the Creoles have a fresher look, than the inhabitants of the plains.